Les balles des éléments supposés appartenir au mouvement des forces démocratiques ont encore tué dans le camp de soldats sénégalais. Un militaire de première classe a été mortellement atteint hier.
Nos sources nous signalent que l’attaque d’hommes lourdement armés a eu lieu entre 12 heures 30 et 13 heures. « Ces hommes fortement armés supposés appartenir au mouvement irrédentiste de la Casamance ont attaqué les militaires en position dans le village de Diaboudior » a précisé notre contact qui ajoute « qu’un soldat de première classe sera grièvement atteint. Il a rendu l’âme lors de son évacuation à l’hôpital régional de Ziguinchor ».
Selon notre source l’armée a riposté avec des armes lourdes, sur l’appui de l’avion de reconnaissance militaire pour repousser les assaillants qui seraient venus du Commandement du front Nord du maquis.
Ces attaques surviennent quelques semaines après les affrontements entre militaires et éléments armés au village périphérique de Ziguinchor, Diabir.
Il faut souligner également que ces attaquent se déroulent 24 heures après le braquage de véhicules dont un du Conseil régional de Ziguinchor à Mampalago, près de la Commune de Bignona.
Des événements malheureux qui doivent, encore, une fois, inciter les protagonistes de la crise à s’asseoir autour d’une table pour trouver une solution pérenne de paix et de stabilité.
Nos sources nous signalent que l’attaque d’hommes lourdement armés a eu lieu entre 12 heures 30 et 13 heures. « Ces hommes fortement armés supposés appartenir au mouvement irrédentiste de la Casamance ont attaqué les militaires en position dans le village de Diaboudior » a précisé notre contact qui ajoute « qu’un soldat de première classe sera grièvement atteint. Il a rendu l’âme lors de son évacuation à l’hôpital régional de Ziguinchor ».
Selon notre source l’armée a riposté avec des armes lourdes, sur l’appui de l’avion de reconnaissance militaire pour repousser les assaillants qui seraient venus du Commandement du front Nord du maquis.
Ces attaques surviennent quelques semaines après les affrontements entre militaires et éléments armés au village périphérique de Ziguinchor, Diabir.
Il faut souligner également que ces attaquent se déroulent 24 heures après le braquage de véhicules dont un du Conseil régional de Ziguinchor à Mampalago, près de la Commune de Bignona.
Des événements malheureux qui doivent, encore, une fois, inciter les protagonistes de la crise à s’asseoir autour d’une table pour trouver une solution pérenne de paix et de stabilité.