Inadmissible ! Irrecevable ! Impardonnable ! Il faut condamner Me Wade avec vigueur, avec énergie, sans haine ni passion. Au nom de la République, au nom de l'État, au nom de la démocratie, au nom de la Nation, au sens culturel du terme.
Les propos de l'ancien président de la République rapportés par la presse de ce mercredi 25 février ne reposent sur aucune base acceptable par la société sénégalaise, ni politique, ni politicienne, ni morale, ni déontologique. Si le jeu politique conçoit certaines attaques crypto-personnelles, il rejette toute allusion aux ascendants, vénérés comme proches de la substance divine.
Me Wade s'est livré à une attaque en règle du président de la République et, par-delà sa personne, à ses parents dans des termes que la morale réprouve et qu'il faut éviter de répéter.
L'ascendance renfermée dans des termes d'exclusion sociale telle que l'avance l'ancien président de la République n'est pas partie prenante du jeu politique.
Les regrets tardifs manifestés par son cabinet visitant les rédactions pour demander une censure des propos du vieux ne doivent pas faire illusion : le 24 février dernier, devant le mouvement "Karay Karim", Me Wade a convaincu le Sénégal et les Sénégalais qu'hier comme aujourd'hui, et peut-être moins que demain, il demeure cet éternel jusqu'auboutiste ne sachant jamais jusqu'où il faut aller loin. Et les populations de Dakar interrogées après coup ne s'y sont pas trompées. Il faut s'indigner des propos outrageants de Me Wade et les condamner sans appel. Au nom de la paix et de la cohésion sociales.
Les propos de l'ancien président de la République rapportés par la presse de ce mercredi 25 février ne reposent sur aucune base acceptable par la société sénégalaise, ni politique, ni politicienne, ni morale, ni déontologique. Si le jeu politique conçoit certaines attaques crypto-personnelles, il rejette toute allusion aux ascendants, vénérés comme proches de la substance divine.
Me Wade s'est livré à une attaque en règle du président de la République et, par-delà sa personne, à ses parents dans des termes que la morale réprouve et qu'il faut éviter de répéter.
L'ascendance renfermée dans des termes d'exclusion sociale telle que l'avance l'ancien président de la République n'est pas partie prenante du jeu politique.
Les regrets tardifs manifestés par son cabinet visitant les rédactions pour demander une censure des propos du vieux ne doivent pas faire illusion : le 24 février dernier, devant le mouvement "Karay Karim", Me Wade a convaincu le Sénégal et les Sénégalais qu'hier comme aujourd'hui, et peut-être moins que demain, il demeure cet éternel jusqu'auboutiste ne sachant jamais jusqu'où il faut aller loin. Et les populations de Dakar interrogées après coup ne s'y sont pas trompées. Il faut s'indigner des propos outrageants de Me Wade et les condamner sans appel. Au nom de la paix et de la cohésion sociales.
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