Le chef de l’État Macky Sall qui présidait lundi la cérémonie solennelle de rentrée des Cours et Tribunaux a fait savoir que « l'Etat prendra toutes ses responsabilités face à ces attaques contre la justice elle-même et les magistrats ». Ce, après des attaques verbales notées contre l’institution.
« La confiance des citoyens en la justice n'est pas une exclusivité de notre pays. Dans un pays partenaire, une loi vient d'être votée portant restauration de la confiance des citoyens envers la justice. Donc ce n'est pas un sujet nouveau. Mais ce n'est pas une raison pour qu'on jette l'opprobre sur les acteurs de la justice et sur la justice elle-même », a-t-il déclaré devant les magistrats.
En conséquence, le Président Sall informe que l’État prendra toutes ses responsabilités en ce sens. « L'État en ce qui le concerne défendra avec fermeté la justice et les magistrats qui sont chargés de l'incarner ». Telle est la mise en garde du président de la République.
Des attaques contre la justice et des magistrats sont notées ces derniers temps dans l’espace politique. Le denier cas date de la sortie de l'opposant Ousmane Sonko contre le Doyen des juges dans l'affaire Sweet Beauty.
« Je voudrais ajouter sur la longue liste des comploteurs le nom de Oumar Maham Diallo qui n'est pas juge, ni magistrat mais plutôt un homme qui exécute une commande politique de Macky Sall », a déclaré jeudi, le leader de Pastef.
« La confiance des citoyens en la justice n'est pas une exclusivité de notre pays. Dans un pays partenaire, une loi vient d'être votée portant restauration de la confiance des citoyens envers la justice. Donc ce n'est pas un sujet nouveau. Mais ce n'est pas une raison pour qu'on jette l'opprobre sur les acteurs de la justice et sur la justice elle-même », a-t-il déclaré devant les magistrats.
En conséquence, le Président Sall informe que l’État prendra toutes ses responsabilités en ce sens. « L'État en ce qui le concerne défendra avec fermeté la justice et les magistrats qui sont chargés de l'incarner ». Telle est la mise en garde du président de la République.
Des attaques contre la justice et des magistrats sont notées ces derniers temps dans l’espace politique. Le denier cas date de la sortie de l'opposant Ousmane Sonko contre le Doyen des juges dans l'affaire Sweet Beauty.
« Je voudrais ajouter sur la longue liste des comploteurs le nom de Oumar Maham Diallo qui n'est pas juge, ni magistrat mais plutôt un homme qui exécute une commande politique de Macky Sall », a déclaré jeudi, le leader de Pastef.