L'armée française a décidé de maintenir une vigilance accrue sur la zone aéroportuaire de Tombouctou.
Après Kidal et Gao, Tombouctou est à son tour victime d’un attentat terroriste. Les jihadistes ont réussi à trouver le chemin pour arriver à l’aéroport de la ville, là où le véhicule a explosé.
Les combattants d’Aqmi, du Mujao et d’Ansar Dine qui sont encore sur le terrain ne sont donc pas totalement vaincus. Leurs nouveaux modes d’action : la guérilla, les embuscades et les attentats. Ils ont encore des armes et des munitions. Le véhicule piégé qui a explosé près de l’aéroport de Tombouctou dans la nuit du 20 au 21 mars était ainsi bourré d’explosifs.
Signe qu’ils semblent retrouver des forces, les jihadistes, qui étaient un moment obligés de se terrer, se déplacent à nouveau. D’après nos informations, c’est après avoir parcouru des centaines de kilomètres qu’ils sont arrivés aux portes de Tombouctou.
Pour commettre leurs attentats, ils utilisent une ruse désormais classique : se déplacer à bord d’un véhicule aux couleurs de l’armée malienne pour surprendre l’ennemi en lui faisant penser qu’il a affaire à un allié.
Source : Rfi.fr
Les combattants d’Aqmi, du Mujao et d’Ansar Dine qui sont encore sur le terrain ne sont donc pas totalement vaincus. Leurs nouveaux modes d’action : la guérilla, les embuscades et les attentats. Ils ont encore des armes et des munitions. Le véhicule piégé qui a explosé près de l’aéroport de Tombouctou dans la nuit du 20 au 21 mars était ainsi bourré d’explosifs.
Signe qu’ils semblent retrouver des forces, les jihadistes, qui étaient un moment obligés de se terrer, se déplacent à nouveau. D’après nos informations, c’est après avoir parcouru des centaines de kilomètres qu’ils sont arrivés aux portes de Tombouctou.
Pour commettre leurs attentats, ils utilisent une ruse désormais classique : se déplacer à bord d’un véhicule aux couleurs de l’armée malienne pour surprendre l’ennemi en lui faisant penser qu’il a affaire à un allié.
Source : Rfi.fr