Le précédent bilan communiqué samedi soir par la police faisait état d'un mort et de 14 blessés.
A Mtwapa, un engin explosif, qui serait une grenade, selon la police, a été lancé sur un rassemblement religieux chrétien.
"Seize personnes ont été blessées, dont deux grièvement, et une personne est morte", a déclaré la porte-parole de la Croix-Rouge kényane, Nelly Muluka, ajoutant que 15 personnes sont toujours hospitalisées.
Un rescapé de l'attentat perpétré à Mtwapa, Katana Kahindi, qui souffre de légères blessures à la jambe, a déclaré avoir vu un minibus se diriger vers un groupe de fidèles sortant de l'église avant d'entendre une forte explosion.
"Je ne pourrais pas dire si les occupants du véhicule ont lancé la grenade qui a explosé", a-t-il indiqué à l'AFP.
Quelques minutes après l'attentat à Mtwapa, une seconde grenade a été lancée en direction d'un restaurant dans la ville voisine de Mombasa, faisant trois blessés, dont un policier. Un seul de ces blessés demeure hospitalisé, a ajouté Mme Muluka.
Les attentats de samedi n'ont pas encore été revendiqués et les autorités n'ont pas fait de commentaires sur leurs éventuels auteurs. Il s'agit des premières attaques dans la zone côtière, très prisée des touristes étrangers et kényans.
Le ministre de la Sécurité intérieure George Saitoti et le chef de la police Mathew Iteere sont arrivés à Mombasa dimanche.
Depuis l'entrée de troupes et de chars kenyans en Somalie en 2011, plusieurs attaques ont eu lieu au Kenya, aussi bien à Nairobi que dans des villes de l'Est, proches de la frontière avec la Somalie, ainsi que dans les camps abritant des réfugiés somaliens.
Ces attaques visaient des véhicules de police, des arrêts d'autobus, des bars et des églises. Les autorités kényanes imputent souvent ces attaques aux rebelles shebab, insurgés islamistes somaliens affiliés au réseau Al-Qaïda.
Certains observateurs attribuent les attentats à des sympathisants isolés des shebab qui souhaiteraient, en visant des villégiatures de luxe ou des camps pour safari, porter un coup à l'économie du Kenya en frappant le secteur du tourisme, qui se relève à peine de la violence post-électorale de 2008.
A Mtwapa, un engin explosif, qui serait une grenade, selon la police, a été lancé sur un rassemblement religieux chrétien.
"Seize personnes ont été blessées, dont deux grièvement, et une personne est morte", a déclaré la porte-parole de la Croix-Rouge kényane, Nelly Muluka, ajoutant que 15 personnes sont toujours hospitalisées.
Un rescapé de l'attentat perpétré à Mtwapa, Katana Kahindi, qui souffre de légères blessures à la jambe, a déclaré avoir vu un minibus se diriger vers un groupe de fidèles sortant de l'église avant d'entendre une forte explosion.
"Je ne pourrais pas dire si les occupants du véhicule ont lancé la grenade qui a explosé", a-t-il indiqué à l'AFP.
Quelques minutes après l'attentat à Mtwapa, une seconde grenade a été lancée en direction d'un restaurant dans la ville voisine de Mombasa, faisant trois blessés, dont un policier. Un seul de ces blessés demeure hospitalisé, a ajouté Mme Muluka.
Les attentats de samedi n'ont pas encore été revendiqués et les autorités n'ont pas fait de commentaires sur leurs éventuels auteurs. Il s'agit des premières attaques dans la zone côtière, très prisée des touristes étrangers et kényans.
Le ministre de la Sécurité intérieure George Saitoti et le chef de la police Mathew Iteere sont arrivés à Mombasa dimanche.
Depuis l'entrée de troupes et de chars kenyans en Somalie en 2011, plusieurs attaques ont eu lieu au Kenya, aussi bien à Nairobi que dans des villes de l'Est, proches de la frontière avec la Somalie, ainsi que dans les camps abritant des réfugiés somaliens.
Ces attaques visaient des véhicules de police, des arrêts d'autobus, des bars et des églises. Les autorités kényanes imputent souvent ces attaques aux rebelles shebab, insurgés islamistes somaliens affiliés au réseau Al-Qaïda.
Certains observateurs attribuent les attentats à des sympathisants isolés des shebab qui souhaiteraient, en visant des villégiatures de luxe ou des camps pour safari, porter un coup à l'économie du Kenya en frappant le secteur du tourisme, qui se relève à peine de la violence post-électorale de 2008.
APS
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