Les jeunes de Pakour, dans le département de Vélingara veulent être édifiés sur l’attribution de 1000 hectares de terre à un promoteur privé. Selon eux, ces terres servaient à l’agriculture et au pâturage. Ils comptent faire une marche dans les prochaines semaines pour dénoncer une spoliation foncière. Ces jeunes reprochent au maire d’avoir libéré ces hectares de terres au promoteur privé.
Abdrahmane Diamanka, Coordinateur de Fonds des Jeunes de Kolda pour la défense de l’environnement soutien que les populations se sont mobilisées pour dire non. Pour lui, « il s’agit tout simplement d’une menace pour leur agriculture et leur élevage. Ils n’ont pas où cultiver dès lors que le promoteur privé commence à exploiter ces terres-là ».
En tant que fils ressortissant de cette région, M. Diamanka soutien que « la région dans sa globalité est menacée par la coupe abusive du bois, que ce soit les délibérations flagrantes des maires pour des titres fonciers et autres. Nous nous sommes mobilisés pour s’opposer à cette mascarade foncière ou à la coupe abusive du bois ».
Selon le coordinateur, le mal est déjà parti. Car « le promoteur privé a déjà commencé à défricher». Pour dénoncer cela, il ajoute : « Nous comptons organiser une marche au niveau de la commune de Pakour le 15 septembre prochain pour alerter l’opinion nationale et internationale. Nous allons remettre un mémorandum au préfet de Vélingara pour demander aux autorités locales d’arrêter le projet le plus rapidement possible ».
Toutefois, ces populations comptent passer à la vitesse supérieure si rien n’est fait. « S’il n’y a pas de réaction positive de la part des autorités, nous sommes prêts à trouver ces gens dans la brousse et à les affronter », tonne Abdrahmane Diamanka.
Abdrahmane Diamanka, Coordinateur de Fonds des Jeunes de Kolda pour la défense de l’environnement soutien que les populations se sont mobilisées pour dire non. Pour lui, « il s’agit tout simplement d’une menace pour leur agriculture et leur élevage. Ils n’ont pas où cultiver dès lors que le promoteur privé commence à exploiter ces terres-là ».
En tant que fils ressortissant de cette région, M. Diamanka soutien que « la région dans sa globalité est menacée par la coupe abusive du bois, que ce soit les délibérations flagrantes des maires pour des titres fonciers et autres. Nous nous sommes mobilisés pour s’opposer à cette mascarade foncière ou à la coupe abusive du bois ».
Selon le coordinateur, le mal est déjà parti. Car « le promoteur privé a déjà commencé à défricher». Pour dénoncer cela, il ajoute : « Nous comptons organiser une marche au niveau de la commune de Pakour le 15 septembre prochain pour alerter l’opinion nationale et internationale. Nous allons remettre un mémorandum au préfet de Vélingara pour demander aux autorités locales d’arrêter le projet le plus rapidement possible ».
Toutefois, ces populations comptent passer à la vitesse supérieure si rien n’est fait. « S’il n’y a pas de réaction positive de la part des autorités, nous sommes prêts à trouver ces gens dans la brousse et à les affronter », tonne Abdrahmane Diamanka.