Luc Messi Atangana à Yaoundé et Victor Roger Mbassa Ndine à Douala, voilà les noms des deux premiers maires élus des deux plus grandes villes du Cameroun.
Tournant historique
Leur avènement consacre un tournant historique dans l’administration des villes camerounaises dites « à régime spécial », et jusque-là placées sous l’autorité des délégués du gouvernement nommés par le président de la République. C’est ainsi que le voulait en tout cas la nouvelle loi récemment adoptée sur la gestion des collectivités territoriales décentralisées.
Mis à l’épreuve des faits, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), dont sont issues ces personnalités, a tout fait pour substituer le décret présidentiel utilisé jusqu’ici à Yaoundé comme à Douala. Le parti au pouvoir, majoritaire dans les exécutifs de ces deux grandes villes, a littéralement dicté le choix de ces nouvelles idylles.
Une formalité
Ainsi, le choix de Luc Messi Atangana comme maire de Yaoundé n’aura été qu’une formalité : les consignes du parti ont été suivies à la lettre.
À Douala en revanche, la parturition a été plus difficile. Les adversaires de Victor Roger Mbassa Ndine, pour la plupart du RDPC également, y ont animé une fronde en interne qui a obligé à un report de 24 heures du scrutin. Mais au final, la volonté du comité central du RDPC a fini par l’emporter au nom de la discipline du parti.
Tournant historique
Leur avènement consacre un tournant historique dans l’administration des villes camerounaises dites « à régime spécial », et jusque-là placées sous l’autorité des délégués du gouvernement nommés par le président de la République.
Mis à l’épreuve des faits, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), dont sont issues ces personnalités, a tout fait pour substituer le décret présidentiel utilisé jusqu’ici à Yaoundé comme à Douala. Le parti au pouvoir, majoritaire dans les exécutifs de ces deux grandes villes, a littéralement dicté le choix de ces nouvelles idylles.
Une formalité
Ainsi, le choix de Luc Messi Atangana comme maire de Yaoundé n’aura été qu’une formalité : les consignes du parti ont été suivies à la lettre.
À Douala en revanche, la parturition a été plus difficile. Les adversaires de Victor Roger Mbassa Ndine, pour la plupart du RDPC également, y ont animé une fronde en interne qui a obligé à un report de 24 heures du scrutin. Mais au final, la volonté du comité central du RDPC a fini par l’emporter au nom de la discipline du parti.
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