Pour la libération du diplomate algérien et de ses 6 collaborateurs, enlevés dans la ville de Gao dans le Nord du Mali, le Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest) réclame 15 millions d’euros.
Ce groupe islamiste, qui se définit comme une dissidence d’al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), affirme avoir rencontré à ce sujet il n’y a pas longtemps des officiels algériens. Ces derniers auraient refusé de payer cette rançon et ils auraient également dit non à une seconde revendication, la libération de combattants islamistes détenus dans la capitale algérienne. Face à ce double refus, le Mujao affirme que désormais la vie des otages est en danger.
Second dossier, l’enlèvement fin octobre 2011 de trois humanitaires à Tindouf à l’ouest de l’Algérie. Pour la libération des deux femmes du groupe, une Italienne et une Espagnole, le Mujao a réclamé 30 millions d’euros et la libération de combattants islamistes détenus en Mauritanie. Là encore, le Mujao n’a pa eu gain de cause et s’impatiente. Son porte-parole, Adnan Abu Walid Sahraoui se veut même plus que jamais menaçant.
RFI
Ce groupe islamiste, qui se définit comme une dissidence d’al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), affirme avoir rencontré à ce sujet il n’y a pas longtemps des officiels algériens. Ces derniers auraient refusé de payer cette rançon et ils auraient également dit non à une seconde revendication, la libération de combattants islamistes détenus dans la capitale algérienne. Face à ce double refus, le Mujao affirme que désormais la vie des otages est en danger.
Second dossier, l’enlèvement fin octobre 2011 de trois humanitaires à Tindouf à l’ouest de l’Algérie. Pour la libération des deux femmes du groupe, une Italienne et une Espagnole, le Mujao a réclamé 30 millions d’euros et la libération de combattants islamistes détenus en Mauritanie. Là encore, le Mujao n’a pa eu gain de cause et s’impatiente. Son porte-parole, Adnan Abu Walid Sahraoui se veut même plus que jamais menaçant.
RFI