Telmex propriété de Carlos Slim, l’homme le plus riche du monde, empêche l’ouverture du marché à d'autres investisseurs privés.
La réforme des telecoms pourrait être la transformation historique qu’attendent les Mexicains depuis plus de 30 ans. Elle va ouvrir à la concurrence un secteur qui est entre les mains d’une oligarchie qui gouverne, de fait, le Mexique.
Deux groupes de télévision Televisa et TV Azteca possèdent 92 % du marché médiatique. En téléphonie fixe et mobile, Telmex propriété de Carlos Slim, l’homme le plus riche du monde, empêche l’ouverture du marché aux investisseurs privés. Ces deux monopoles, télévisuel et de télécommunciation, ont laissé s’installer, faute de concurrence et d’investissements, un énorme retard en matière d’internet et de nouvelles technologies. Des concessions données à deux nouvelles chaînes de télévision devraient considérablement améliorer la liberté d’expression. L’accès aux réseaux d’interconnexion de Telmex favorisera un internet à haut débit, une téléphonie moins onéreuse ou gratuite.
Avec cette réforme, le président Enrique Peña Nieto marque une distance avec l’oligarchie qui a aidé à son élection et surprend l’opposition qui réclamait à corps et à cris une démocratisation des médias.
Source : Rfi.fr
Deux groupes de télévision Televisa et TV Azteca possèdent 92 % du marché médiatique. En téléphonie fixe et mobile, Telmex propriété de Carlos Slim, l’homme le plus riche du monde, empêche l’ouverture du marché aux investisseurs privés. Ces deux monopoles, télévisuel et de télécommunciation, ont laissé s’installer, faute de concurrence et d’investissements, un énorme retard en matière d’internet et de nouvelles technologies. Des concessions données à deux nouvelles chaînes de télévision devraient considérablement améliorer la liberté d’expression. L’accès aux réseaux d’interconnexion de Telmex favorisera un internet à haut débit, une téléphonie moins onéreuse ou gratuite.
Avec cette réforme, le président Enrique Peña Nieto marque une distance avec l’oligarchie qui a aidé à son élection et surprend l’opposition qui réclamait à corps et à cris une démocratisation des médias.
Source : Rfi.fr