Des quantités de cocaïne et d’héroïne, évaluées respectivement à 0,6 Kg et 0,3 Kg ont été en même temps saisis au cours de cette période qui a vu l’OCRTIS satisfaire 7 demandes d’assistance technique internationale au profit de polices européennes, selon un rapport d’activités dudit ministère.
« Ces statistiques appréciables ont notamment été engrangées grâce à la campagne de communication et de sensibilisation menée annuellement au cours de la semaine nationale de mobilisation contre la drogue, sous l’égide du Comité interministériel de lutte contre la drogue (CILD) », note le document.
Il rappelle que le ministère de l’Intérieur a procédé, en juin dernier, à l’inauguration du nouveau siège du Bureau régional de l’Office des Nations unies contre la drogue et la criminalité (ONUDC) pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre. « A cette occasion, il a réaffirmé la volonté de l’Etat du Sénégal de lutter contre les cartels de la drogue et de la criminalité ».
Le continent africain est présenté depuis quelques années comme une importante plaque-tournante du trafic de cocaïne et, depuis plusieurs décennies, d’autres drogues. S’y ajoutent les problèmes de corruption notamment engendrés sur le continent par l’arrivée massive de l’argent des stupéfiants.
Selon des spécialistes, le Maroc, malgré une forte réduction des surfaces cultivées (134 000 ha en 2003, 47 500 ha en 2010), demeure l’un des principaux pays africains exportateurs de haschich vers l’Europe et le reste de l’Afrique du Nord.
Près de 120 tonnes ont été saisies au Maroc en 2010 et 23 tonnes en Algérie. Le cannabis est par ailleurs produit un peu partout sur le continent, notamment au Ghana, au Nigeria, au Sénégal et au Togo, de même qu’en Afrique de l’Est et en Afrique australe.
Selon le dernier rapport de l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS), le trafic de cocaïne, d’héroïne et de méthamphétamine s’étend en Afrique. L’OICS parle d’une tendance à la hausse en ce qui concerne l’héroïne.
Sous ce rapport, la baisse des saisies de cocaïne en Afrique, de 47 tonnes en 2007 à 21 tonnes en 2009, ne rassure pas l’OICS, selon qui les trafiquants « semblent avoir changé de tactique et utilisent le transport conteneurisé pour introduire illicitement la cocaïne en Afrique de l’Ouest ».
Avec l’APS
« Ces statistiques appréciables ont notamment été engrangées grâce à la campagne de communication et de sensibilisation menée annuellement au cours de la semaine nationale de mobilisation contre la drogue, sous l’égide du Comité interministériel de lutte contre la drogue (CILD) », note le document.
Il rappelle que le ministère de l’Intérieur a procédé, en juin dernier, à l’inauguration du nouveau siège du Bureau régional de l’Office des Nations unies contre la drogue et la criminalité (ONUDC) pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre. « A cette occasion, il a réaffirmé la volonté de l’Etat du Sénégal de lutter contre les cartels de la drogue et de la criminalité ».
Le continent africain est présenté depuis quelques années comme une importante plaque-tournante du trafic de cocaïne et, depuis plusieurs décennies, d’autres drogues. S’y ajoutent les problèmes de corruption notamment engendrés sur le continent par l’arrivée massive de l’argent des stupéfiants.
Selon des spécialistes, le Maroc, malgré une forte réduction des surfaces cultivées (134 000 ha en 2003, 47 500 ha en 2010), demeure l’un des principaux pays africains exportateurs de haschich vers l’Europe et le reste de l’Afrique du Nord.
Près de 120 tonnes ont été saisies au Maroc en 2010 et 23 tonnes en Algérie. Le cannabis est par ailleurs produit un peu partout sur le continent, notamment au Ghana, au Nigeria, au Sénégal et au Togo, de même qu’en Afrique de l’Est et en Afrique australe.
Selon le dernier rapport de l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS), le trafic de cocaïne, d’héroïne et de méthamphétamine s’étend en Afrique. L’OICS parle d’une tendance à la hausse en ce qui concerne l’héroïne.
Sous ce rapport, la baisse des saisies de cocaïne en Afrique, de 47 tonnes en 2007 à 21 tonnes en 2009, ne rassure pas l’OICS, selon qui les trafiquants « semblent avoir changé de tactique et utilisent le transport conteneurisé pour introduire illicitement la cocaïne en Afrique de l’Ouest ».
Avec l’APS
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