Le consultant international et professeur en communication, Jacques Habib Sy a tenté d’expliquer, au cours de l’émission Remue Ménage de ce dimanche 30 janvier 2011, les raisons de la crise énergétique qui fait actuellement rage au Sénégal. Pour lui, la crise du secteur énergétique au Sénégal pose le problème de la décolonisation du secteur énergétique et donc de la décolonisation de l’Economie. Il a fait comprendre que «la protection imposée par la banque mondiale et naturellement le Fond Monétaire International (FMI) en ce qui concerne les intérêts des transnationales est une autoroute toute tracée pour les intérêts étrangers, les puissantes compagnies étrangères pour venir imposer leur loi au Sénégal». Mr Sy de s’interroger: «mais où est la politique énergétique du Sénégal dans tout cela, où est le semblant même de planification du secteur énergétique, où sont les énergies alternatives?».
Selon lui, le Sénégal est dans une presqu’île et a des milliers de côtes, qu’est ce qu’on ferait de l’énergie provenant de la mer, il y a l’énergie hydraulique qui est là mais c’est comme si le gouvernement du Sénégal était collé, on lui aurait dit ne quitter pas cette machinerie qui a été mise en place depuis la nuit des temps, collez vous à ça, je crois que votre bonheur et celui des populations ce sera cela, nous le garantissons nous les français.
Pour comprendre l’acuité de cette crise, soutient-il, il faut savoir que c’est une crise qui est systémique. «C'est-à-dire que nous avons un appareillage qui est absolument vétuste, qui n’est plus utilisé nulle part au monde actuellement, d’où la décolonisation du système. Ce sont des machines qui avaient été mises en place ici par la colonisation». Le consultant international de se demander «est-ce que les points où ces machines ont été installées répondent au balayage vraiment avenant des besoins nationaux en matière énergétique, j’en doute fort».
Selon lui, le Sénégal est dans une presqu’île et a des milliers de côtes, qu’est ce qu’on ferait de l’énergie provenant de la mer, il y a l’énergie hydraulique qui est là mais c’est comme si le gouvernement du Sénégal était collé, on lui aurait dit ne quitter pas cette machinerie qui a été mise en place depuis la nuit des temps, collez vous à ça, je crois que votre bonheur et celui des populations ce sera cela, nous le garantissons nous les français.
Pour comprendre l’acuité de cette crise, soutient-il, il faut savoir que c’est une crise qui est systémique. «C'est-à-dire que nous avons un appareillage qui est absolument vétuste, qui n’est plus utilisé nulle part au monde actuellement, d’où la décolonisation du système. Ce sont des machines qui avaient été mises en place ici par la colonisation». Le consultant international de se demander «est-ce que les points où ces machines ont été installées répondent au balayage vraiment avenant des besoins nationaux en matière énergétique, j’en doute fort».
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