« Au Sénégal, la pneumonie tue 3000 enfants chaque année, soit 12 % de tous les décès des enfants de moins de cinq (5) ans. Ce sont des décès évitables si l’enfant est vite pris en charge dans une structure de santé », a relevé la responsable de la division survie de l’enfant au ministère de la Santé et de l’Action sociale.
Selon Docteur Aissatou Diop, le « grand problème de la pneumonie, c’est le recours tardif aux soins, mais le traitement est disponible du niveau communautaire jusqu’à l’établissement public de santé ».
« Causée par des virus, des bactéries ou des champignons », la pneumonie « peut être évitée par la vaccination, la nutrition adéquate et en tenant compte des facteurs environnementaux », a-t-elle précisé.
Sur les décès d’enfants de moins de cinq (5) ans au Sénégal, la responsable de la division survie de l’enfant a souligné que 45 % d’entre eux perdent la vie durant leur premier mois de naissance, 12% meurent de pneumonie avant 5 ans et 8 % décèdent de diarrhée.
« C’est l’allaitement maternel qui protège l’enfant de la pneumonie et au-delà, pour mettre en garde les enfants, il faut qu’ils soient bien alimentés en plus de l’allaitement maternel jusqu’à deux ans », a préconisé Eugénie Niane de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Avec APS
Selon Docteur Aissatou Diop, le « grand problème de la pneumonie, c’est le recours tardif aux soins, mais le traitement est disponible du niveau communautaire jusqu’à l’établissement public de santé ».
« Causée par des virus, des bactéries ou des champignons », la pneumonie « peut être évitée par la vaccination, la nutrition adéquate et en tenant compte des facteurs environnementaux », a-t-elle précisé.
Sur les décès d’enfants de moins de cinq (5) ans au Sénégal, la responsable de la division survie de l’enfant a souligné que 45 % d’entre eux perdent la vie durant leur premier mois de naissance, 12% meurent de pneumonie avant 5 ans et 8 % décèdent de diarrhée.
« C’est l’allaitement maternel qui protège l’enfant de la pneumonie et au-delà, pour mettre en garde les enfants, il faut qu’ils soient bien alimentés en plus de l’allaitement maternel jusqu’à deux ans », a préconisé Eugénie Niane de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Avec APS