Nommé par le Président peu de temps après son investiture, le nouveau locataire de la primature a pour mission de mettre en œuvre le programme du président de la République Mahamat Deby qui a promis notamment la consolidation de la paix, de l’unité et de la sécurité ainsi que la diversification de l’économie.
Pour certains, comme François Djekombé, qui dirige l’un des 230 partis politiques formant la coalition qui a soutenu la candidature de Mahamat Deby, cette nomination est une bonne chose. Il espère que « le gouvernement qui sera mis en place puisse se mettre effectivement au travail pour mettre en œuvre les chantiers du président ». « Nous estimons que le Premier ministre a toutes les compétences pour cela », ajoute-t-il.
« Le pays a besoin de plus que ça »
Mais cette nomination ne fait pas l’unanimité au sein de la société tchadienne. La plateforme de la société civile Wakit Tama, par la voix de son porte-parole Adoum Soumaïne, estime que le nouveau Premier ministre doit aussi s'attaquer à la réforme de l’armée tchadienne. « Le pays a besoin de plus que ça et il y a vraiment des urgences qui sont de l’ordre stratégique. Le statut de l’armée fait partie des urgences », analyse-t-il.
Béral Mabikoubou, conseiller national et membre de l’opposition, dit ne rien attendre du nouveau Premier ministre. « Un système reste un système et un élément particulier dans un système ne constitue jamais grand chose. Pour les cinq ans à venir, nous aurons encore à faire du surplace et si jamais le Tchad bouge, ce sera à reculons », tance-t-il.
Pour certains, comme François Djekombé, qui dirige l’un des 230 partis politiques formant la coalition qui a soutenu la candidature de Mahamat Deby, cette nomination est une bonne chose. Il espère que « le gouvernement qui sera mis en place puisse se mettre effectivement au travail pour mettre en œuvre les chantiers du président ». « Nous estimons que le Premier ministre a toutes les compétences pour cela », ajoute-t-il.
« Le pays a besoin de plus que ça »
Mais cette nomination ne fait pas l’unanimité au sein de la société tchadienne. La plateforme de la société civile Wakit Tama, par la voix de son porte-parole Adoum Soumaïne, estime que le nouveau Premier ministre doit aussi s'attaquer à la réforme de l’armée tchadienne. « Le pays a besoin de plus que ça et il y a vraiment des urgences qui sont de l’ordre stratégique. Le statut de l’armée fait partie des urgences », analyse-t-il.
Béral Mabikoubou, conseiller national et membre de l’opposition, dit ne rien attendre du nouveau Premier ministre. « Un système reste un système et un élément particulier dans un système ne constitue jamais grand chose. Pour les cinq ans à venir, nous aurons encore à faire du surplace et si jamais le Tchad bouge, ce sera à reculons », tance-t-il.