A Tambacounda une vingtaine de concessions détruites par les incendies en un mois. Les dieux du feu sont-ils en colère contre les populations de Tambacounda ? Tout porte à y croire, au vu des nombreux incendies enregistrés dans la capitale orientale. Plus d’une vingtaine d’habitations ont été incendiées en l’espace d’un mois dans le département de Tambacounda. L’origine de ces incendies reste inconnue, ont indiqué les sapeurs-pompiers. Certains habitants dorment avec leurs biens à la belle étoile. Ils disent craindre d’ être surpris par le feu mystérieux en pleine nuit.
Au village de Sarécouta Peulh, situé a 15 kilomètres de Tambacounda, le 3 février dernier quatre cases à usage d’habitation ont été réduites en amas de cendres d’importants dégâts matériels enregistrés. Pis, à Koussanar, une fillette d’un an emportée par les flammes. L’incendie a pris de tout court tout le monde. Le mardi 11 février, aux environs de 15 heures 45 minutes, la sieste des habitants de cette communauté a été écourtée par un violant incendie au domicile de Boye Diaye Diabaly, situé dans le quartier Elevage de koussanar. Les populations ont essayé, en vain, d’éteindre le feu avec du sable, la maison ne dispose pas d’eau, conséquence le feu a consumé toutes les concessions. Elle a surpris de la pire des manières la petite Ciré Diallo, âgée d’un an et deux mois.
Elle dormait tranquillement dans une case, en l’absence de sa maman partie de puiser de l’eau. La fillette a été piégée par les flammes. Ce sont ses cris de détresse qui ont finalement alerté les villageois. Malheureusement, elles n’ont pu la sauver, ni circonscrire le feu qui a tout consumé sur son passage et a carbonisé le corps de la fillette. D’importants dégâts ont été également enregistrés. Pour l’heure, on ne reconnait pas exactement l’origine du sinistre. Des populations n’ont de cesse de formuler une doléance, notamment l’implantation d’une brigade de sapeurs-pompiers dans leurs localités pour minimiser les dégâts en cas d’incendie. Mais, elles n’ont pas encore été écoutées. Se prononçant sur la question, le commandant du groupement des soldats du feu, Oumar Kane évoque dans les colonnes du journal "l'observateur", le vent de mis dans le secteur. ce, face à des populations qui ne prennent pas certaines précautions après l'hivernage, ils ne labourent pas les alentours de leurs villages.
Au village de Sarécouta Peulh, situé a 15 kilomètres de Tambacounda, le 3 février dernier quatre cases à usage d’habitation ont été réduites en amas de cendres d’importants dégâts matériels enregistrés. Pis, à Koussanar, une fillette d’un an emportée par les flammes. L’incendie a pris de tout court tout le monde. Le mardi 11 février, aux environs de 15 heures 45 minutes, la sieste des habitants de cette communauté a été écourtée par un violant incendie au domicile de Boye Diaye Diabaly, situé dans le quartier Elevage de koussanar. Les populations ont essayé, en vain, d’éteindre le feu avec du sable, la maison ne dispose pas d’eau, conséquence le feu a consumé toutes les concessions. Elle a surpris de la pire des manières la petite Ciré Diallo, âgée d’un an et deux mois.
Elle dormait tranquillement dans une case, en l’absence de sa maman partie de puiser de l’eau. La fillette a été piégée par les flammes. Ce sont ses cris de détresse qui ont finalement alerté les villageois. Malheureusement, elles n’ont pu la sauver, ni circonscrire le feu qui a tout consumé sur son passage et a carbonisé le corps de la fillette. D’importants dégâts ont été également enregistrés. Pour l’heure, on ne reconnait pas exactement l’origine du sinistre. Des populations n’ont de cesse de formuler une doléance, notamment l’implantation d’une brigade de sapeurs-pompiers dans leurs localités pour minimiser les dégâts en cas d’incendie. Mais, elles n’ont pas encore été écoutées. Se prononçant sur la question, le commandant du groupement des soldats du feu, Oumar Kane évoque dans les colonnes du journal "l'observateur", le vent de mis dans le secteur. ce, face à des populations qui ne prennent pas certaines précautions après l'hivernage, ils ne labourent pas les alentours de leurs villages.