Au Service de Neurologie de Dakar, l’accident vasculaire cérébral (AVC) représente la première cause de décès. 1/3 des lits d’hospitalisation sont occupés par des patients victimes d’AVC. Une révélation du ministère de Santé et de l'action en marge de la journée mondiale de l'Avc célébrée, le 29 octobre 2021.
Une occasion pour le département de Abdoulaye Diouf Sarr de communiquer sur l’urgence "de mieux prévenir les risques d’AVC et mieux reconnaitre les signes pour agir tôt."
" L’accident vasculaire cérébral ou «attaque cérébrale» est une maladie neurologique qui touche les artères du cerveau. On distingue deux principaux types d'AVC, ischémique et hémorragique. L’AVC constitue un problème majeur de santé publique, du fait de sa fréquence élevée et de sa gravité. Dans le monde, il représente la première cause de handicap physique acquis de l’adulte, la deuxième cause de démence, la deuxième cause de décès", a fait savoir le ministère.
Qui poursuit en indiquant que les principaux facteurs de risque d’AVC sont : " l’âge avancé, les antécédents familiaux de maladie vasculaire, l’hypertension artérielle, l’obésité́ abdominale, la sédentarité́, le diabète, l’excès de cholestérol dans le sang, le tabac, l’alcool, le stress, les maladies du cœur et des artères du cou. Même si une mauvaise alimentation (riche en sucre, sel et cholestérol) peut concourir à la survenue de facteurs de risque d’AVC, d’autres maladies, notamment du cœur, des vaisseaux, du sang peuvent également causer un AVC. "
Par conséquent, "Il est crucial pour la victime et/ou son entourage de savoir reconnaitre rapidement les signes d'un AVC, compte tenu de l’urgence médicale, pouvant être chirurgicale dans certains cas. Idéalement, la victime doit être admise dans une unité spécialisée en VC. Les principaux signes de l'AVC sont : un affaissement du visage / déviation de la bouche, une faiblesse dans un bras ou une jambe, une difficulté pour s'exprimer verbalement (trouver ses mots, comprendre les ordres simples, articuler), un trouble de l’équilibre, une perte de la vision, entre autres."
Une occasion pour le département de Abdoulaye Diouf Sarr de communiquer sur l’urgence "de mieux prévenir les risques d’AVC et mieux reconnaitre les signes pour agir tôt."
" L’accident vasculaire cérébral ou «attaque cérébrale» est une maladie neurologique qui touche les artères du cerveau. On distingue deux principaux types d'AVC, ischémique et hémorragique. L’AVC constitue un problème majeur de santé publique, du fait de sa fréquence élevée et de sa gravité. Dans le monde, il représente la première cause de handicap physique acquis de l’adulte, la deuxième cause de démence, la deuxième cause de décès", a fait savoir le ministère.
Qui poursuit en indiquant que les principaux facteurs de risque d’AVC sont : " l’âge avancé, les antécédents familiaux de maladie vasculaire, l’hypertension artérielle, l’obésité́ abdominale, la sédentarité́, le diabète, l’excès de cholestérol dans le sang, le tabac, l’alcool, le stress, les maladies du cœur et des artères du cou. Même si une mauvaise alimentation (riche en sucre, sel et cholestérol) peut concourir à la survenue de facteurs de risque d’AVC, d’autres maladies, notamment du cœur, des vaisseaux, du sang peuvent également causer un AVC. "
Par conséquent, "Il est crucial pour la victime et/ou son entourage de savoir reconnaitre rapidement les signes d'un AVC, compte tenu de l’urgence médicale, pouvant être chirurgicale dans certains cas. Idéalement, la victime doit être admise dans une unité spécialisée en VC. Les principaux signes de l'AVC sont : un affaissement du visage / déviation de la bouche, une faiblesse dans un bras ou une jambe, une difficulté pour s'exprimer verbalement (trouver ses mots, comprendre les ordres simples, articuler), un trouble de l’équilibre, une perte de la vision, entre autres."