’’Arrêtons les fantasmes ! Comment peut-on parler d’accord secret à l’heure d’internet et des satellites. Tout se sait maintenant. La seule chose qui puisse recevoir le qualificatif de secret, c’est une information qui reste secrète pendant une heure, pas plus. Donc cessons de fantasmer sur ces choses-là. Il n’y a rien de secret, ça se passe dans la transparence (…)’’, a martelé M. Valéro dans une interview publiée vendredi par le quotidien Walfadjri.
Le porte-parole du Quai d’Orsay évoquait le choix de son pays de garder quelque 300 éléments de son armée au Sénégal, pays avec lequel la France a signé un traité de partenariat et de coopération militaire, lorsque le journaliste l’a interpellé sur ‘’les accords secrets’’, l’obligeant à réagir fermement.
Selon, même si les deux parties avaient voulu que ’’ça se passe secrètement, on n’aurait pas d’autre choix que de le faire de la manière la plus transparente possible’’.
’’Tout ça, ce sont de vieux oripeaux qu’il faut jeter’’, a-t-il estimé, demandant ’’un petit peu d’efforts pour regarder ce qui se passe dans le monde et pour voir les choses, peut-être un petit peu différemment’’.
Selon Bernard Valéro, ’’le traité de partenariat et de coopération militaire signé’’ par Macky Sall et Nicolas Sarkozy est ’’le huitième qui intervient et complète une nouvelle approche que la France entend par relation dans le secteur de la Défense avec ses partenaires africains’’.
Il a promis que l’accord ’’sera rendu public’’ au terme du processus de sa ratification qui va nécessiter en France l’avis du Conseil d’Etat et l’approbation des deux chambres du Parlement.
Interrogé sur la présence de l’Armée française au Sénégal, il a indiqué que son pays ’’va garder quelques éléments (..) qui vont tourner autour de 300 personnes’’.
Outre un traité de partenariat et de coopération militaire, le Sénégal et la France ont aussi conclu, à l’occasion de la première visite officielle européenne du président Macky Sall, un accord de prêt budgétaire d’un montant d’environ 85 milliards de FCFA.
Avec APS
Le porte-parole du Quai d’Orsay évoquait le choix de son pays de garder quelque 300 éléments de son armée au Sénégal, pays avec lequel la France a signé un traité de partenariat et de coopération militaire, lorsque le journaliste l’a interpellé sur ‘’les accords secrets’’, l’obligeant à réagir fermement.
Selon, même si les deux parties avaient voulu que ’’ça se passe secrètement, on n’aurait pas d’autre choix que de le faire de la manière la plus transparente possible’’.
’’Tout ça, ce sont de vieux oripeaux qu’il faut jeter’’, a-t-il estimé, demandant ’’un petit peu d’efforts pour regarder ce qui se passe dans le monde et pour voir les choses, peut-être un petit peu différemment’’.
Selon Bernard Valéro, ’’le traité de partenariat et de coopération militaire signé’’ par Macky Sall et Nicolas Sarkozy est ’’le huitième qui intervient et complète une nouvelle approche que la France entend par relation dans le secteur de la Défense avec ses partenaires africains’’.
Il a promis que l’accord ’’sera rendu public’’ au terme du processus de sa ratification qui va nécessiter en France l’avis du Conseil d’Etat et l’approbation des deux chambres du Parlement.
Interrogé sur la présence de l’Armée française au Sénégal, il a indiqué que son pays ’’va garder quelques éléments (..) qui vont tourner autour de 300 personnes’’.
Outre un traité de partenariat et de coopération militaire, le Sénégal et la France ont aussi conclu, à l’occasion de la première visite officielle européenne du président Macky Sall, un accord de prêt budgétaire d’un montant d’environ 85 milliards de FCFA.
Avec APS
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24