Montage PressAfrik
L’attaque du cortège du président de la République sortant, Abdoulaye Wade a été très violente. Jusqu’à provoquer l’ire d’Abdoulaye Wade. Le candidat des FAL 2012 a été très dur avec les populations de Nguéniène et le leader du Parti Socialiste (PS), Ousmane Tanor Dieng. Après avoir été sauvé de ces cailloux par sa garde rapprochée, le leader du PDS à déclaré à Mbour : «En passant à Nguéniène, on a vu beaucoup de gens avec des chiffons rouges. Nous sommes passés tranquillement, ils nous ont jeté des cailloux et ils ont presque crevé l’œil d’un de nos responsables. Heureusement, je viens de recevoir une note qui me dit qu’il n’a pas perdu l’œil».
«Ce ne sont pas démocrates, ce sont des sauvages», a-t-il fulminé à l’endroit des populations de cette localité située à quelques kilomètres de Mbour (90km de Dakar).
Très remonté, il poursuit son discours : «qu’est ce que j’ai fait ??? Les gens qui étaient avec moi voulaient descendre pour se battre, je leur ai dit continuons. Nous avons continué parce que s’ils étaient descendus ça serait plus grave et déplorable».
Abdoulaye Wade au micro de notre confrère de la RFM s’en est pris au chef de file des socialistes. «Je lance d’ici un message et un avertissement à M. Tanor Dieng. Je disais toujours dans mes discours que Tanor est un démocrate, maintenant, il se révèle comme un fasciste, c’est l’un des plus grands».
Et d’aller jusqu’à visiter le passé d’Ousmane Tanor Dieng : «je vous rappelle qu’il était à côté de Jean Collins et Senghor quand j’étais dans l’opposition. Alors je lui demande d’arrêter, il faut qu’il arrête ces violences qu’il exerce sur les militants du PDS».
Les hostilités du candidat des FAL 2012 ne se sont pas seulement limitées à Ousmane Tanor Dieng et sa population de Nguéniène. En effet, Abdoulaye Wade s’est aussi attaqué à toute l’opposition. «Le Sénégal n’a pas d’opposition qu’il mérite. Le Sénégal n’a d’opposition démocratique. Une opposition démocratique doit savoir gagner mais aussi doit savoir perdre. Alors ils sont une minorité, quand ils se réunissent à Dakar, ils sont trois ou quatre mille. Ils veulent imposer leur volonté au reste de la nation. Et bien non, le fasciste ne passera pas».
«Ce ne sont pas démocrates, ce sont des sauvages», a-t-il fulminé à l’endroit des populations de cette localité située à quelques kilomètres de Mbour (90km de Dakar).
Très remonté, il poursuit son discours : «qu’est ce que j’ai fait ??? Les gens qui étaient avec moi voulaient descendre pour se battre, je leur ai dit continuons. Nous avons continué parce que s’ils étaient descendus ça serait plus grave et déplorable».
Abdoulaye Wade au micro de notre confrère de la RFM s’en est pris au chef de file des socialistes. «Je lance d’ici un message et un avertissement à M. Tanor Dieng. Je disais toujours dans mes discours que Tanor est un démocrate, maintenant, il se révèle comme un fasciste, c’est l’un des plus grands».
Et d’aller jusqu’à visiter le passé d’Ousmane Tanor Dieng : «je vous rappelle qu’il était à côté de Jean Collins et Senghor quand j’étais dans l’opposition. Alors je lui demande d’arrêter, il faut qu’il arrête ces violences qu’il exerce sur les militants du PDS».
Les hostilités du candidat des FAL 2012 ne se sont pas seulement limitées à Ousmane Tanor Dieng et sa population de Nguéniène. En effet, Abdoulaye Wade s’est aussi attaqué à toute l’opposition. «Le Sénégal n’a pas d’opposition qu’il mérite. Le Sénégal n’a d’opposition démocratique. Une opposition démocratique doit savoir gagner mais aussi doit savoir perdre. Alors ils sont une minorité, quand ils se réunissent à Dakar, ils sont trois ou quatre mille. Ils veulent imposer leur volonté au reste de la nation. Et bien non, le fasciste ne passera pas».