C’est à peine si le Conseiller en TIC du Président de la République n’a pas crié au scandale devant la tournure donnée à l’affaire qui l'oppose au journaliste écrivain, Abdou Latif Coulibaly qui a été soumis ce samedi à un jury populaire à l’initiative du cadre de concertation des associations de la société civile (CASC). «Je suis étonné qu’une affaire pendante devant la justice soit l’objet de telles initiatives relevant plus d’artifices de communication qu’autre chose». Ousmane Thierno Sy ne comprend pas qu’on veuille donner un caractère politique à cette affaire qui concerne deux citoyens» non sans avertir que «les politiciens et M. Coulibaly sachent que nous les connaissons, leur identité ne nous a jamais échappée».
Toutefois, M. Sy a une explication à cette attitude de ses « adversaires». «La panique et la peur se sont installés dans les cœurs de M. Coulibaly et des politiciens masqués qui le soutiennent», accuse-t-il tout en regrettant que le nom du ministre du ministre de la Justice, Cheikh Tidiane Sy, sorte dans ce dossier».
Selon le Conseiller en TIC de Me Wade, c’est la preuve qu’il y a une «volonté manifeste de nuire». Car, rappelle-t-il «quand je portais plainte, personne ne savait que Cheikh Tidiane Sy reviendrait au ministère de la Justice».
Par ailleurs, de son audition par un jury populaire, la société civile s’est dite convaincue des arguments avancés par le journaliste qui avait révélé l’affaire des 20 milliards de commissions sur la vente de la 3e licence de téléphonie octroyée à l’opérateur soudanais, SUDATEL.
Toutefois, M. Sy a une explication à cette attitude de ses « adversaires». «La panique et la peur se sont installés dans les cœurs de M. Coulibaly et des politiciens masqués qui le soutiennent», accuse-t-il tout en regrettant que le nom du ministre du ministre de la Justice, Cheikh Tidiane Sy, sorte dans ce dossier».
Selon le Conseiller en TIC de Me Wade, c’est la preuve qu’il y a une «volonté manifeste de nuire». Car, rappelle-t-il «quand je portais plainte, personne ne savait que Cheikh Tidiane Sy reviendrait au ministère de la Justice».
Par ailleurs, de son audition par un jury populaire, la société civile s’est dite convaincue des arguments avancés par le journaliste qui avait révélé l’affaire des 20 milliards de commissions sur la vente de la 3e licence de téléphonie octroyée à l’opérateur soudanais, SUDATEL.