Le Président de l’Association des Consommateurs du Sénégal (ASCOSEN), Momar Ndao a fait savoir que son association est «contre toute augmentation de quelques prix que ce soit». Réagissant sur les ondes de la Rfm à propos d’une éventuelle augmentation du prix du sucre, M ndao d’indiquer: «s’il doit y avoir une répercussion, il faudrait que l’on puisse voir quelle est la répercussion exacte que l’on doit avoir ici. Imaginez que les tarifs qui ont été donné ne soient respectés par personnes alors que le prix du morceau en sucre a été fixé».
Il fait comprendre que «le prix du sucre est libre, ce qui constitue un problème. Si le prix des denrées de premières nécessités est libre en ce moment-là, chaque commerçant est libre de fixer son prix, ce qui n’est pas normal». Pour lui, l’Etat du Sénégal devrait mettre son régime d’homologation des prix des denrées de premières nécessité de sorte que quand il doit y avoir une répercussion que cette répercussion soit bien calculé.
Il fait comprendre que «le prix du sucre est libre, ce qui constitue un problème. Si le prix des denrées de premières nécessités est libre en ce moment-là, chaque commerçant est libre de fixer son prix, ce qui n’est pas normal». Pour lui, l’Etat du Sénégal devrait mettre son régime d’homologation des prix des denrées de premières nécessité de sorte que quand il doit y avoir une répercussion que cette répercussion soit bien calculé.
Autres articles
-
Sénégal : Les prix à la consommation augmentent de 1 % au troisième trimestre 2024, selon l’ANSD
-
10e Revue Annuelle des Réformes de l'UEMOA : le Sénégal évalue ses progrès dans l'intégration régionale
-
Sénégal : le rapport 2024 de la CNUCED met en lumière les défis de la dette, la dépendance aux matières premières ...
-
Coût de la vie et surplus pétrolier : la Banque mondiale dévoile ses prévisions jusqu'en 2026
-
Sécheresse : les femmes produisent 80 % de l’alimentation dans les pays en développement mais possèdent moins de 20 % des terres (ONU)