La receveuse du minibus de la ligne DK 3512 AF du nom d’Adji Seck n’en revient pas de la vitesse et la tragédie du choc. Le minibus dans lequel elle était embarquée en partance pour le terminus du score Sahm a dévié sa route à hauteur du stade Demba Diop pour aller faucher un homme de 45 ans non identifié et un femme enceinte de 25 ans. Immobile derrière le véhicule, Adji raconte le drame auquel elle a d’assisté.
« Après avoir marqué un arrêt au stade Demba Diop, le chauffeur est reparti, mais en moins de 100 mètres, il a perdu le contrôle du véhicule et foncé sur un homme qui marchait sur le trottoir devançant le véhicule. Le véhicule l’a traîné sur plus de 20 mètres avant de s’immobiliser heurtant au passage une dame ». La receveuse n'oublie tout de même pas de défendre le chauffeur en précisant: « C’est quelque chose qui devait arriver car il ne roulait pas vite. De plus, entre deux arrêts, il ne peut pas y avoir d'excès de vitesse. C’est un problème technique qui peut arriver à tout conducteur » ajoute-t-elle sur les colonnes du
journal "l'observateur" qui pour prouver la violence du choc fait part des traces de sang, d’huile de moteur et le bas de la roue du "Tata" déboîtée.
En plus des commentaires entre les marchands et les badauds qui indexent l’indiscipline des chauffeurs ». Au moment où d'’autres se demandent encore comment celui du bus a traîné l'homme sur une vingtaine de mètres sans pouvoir maîtriser son véhicule si toutefois le transport en commun avait un frein.
Aux dernières nouvelles, la femme enceinte a été admise aux soins intensifs de l'hôpital de Grand-Yoff.
« Après avoir marqué un arrêt au stade Demba Diop, le chauffeur est reparti, mais en moins de 100 mètres, il a perdu le contrôle du véhicule et foncé sur un homme qui marchait sur le trottoir devançant le véhicule. Le véhicule l’a traîné sur plus de 20 mètres avant de s’immobiliser heurtant au passage une dame ». La receveuse n'oublie tout de même pas de défendre le chauffeur en précisant: « C’est quelque chose qui devait arriver car il ne roulait pas vite. De plus, entre deux arrêts, il ne peut pas y avoir d'excès de vitesse. C’est un problème technique qui peut arriver à tout conducteur » ajoute-t-elle sur les colonnes du
journal "l'observateur" qui pour prouver la violence du choc fait part des traces de sang, d’huile de moteur et le bas de la roue du "Tata" déboîtée.
En plus des commentaires entre les marchands et les badauds qui indexent l’indiscipline des chauffeurs ». Au moment où d'’autres se demandent encore comment celui du bus a traîné l'homme sur une vingtaine de mètres sans pouvoir maîtriser son véhicule si toutefois le transport en commun avait un frein.
Aux dernières nouvelles, la femme enceinte a été admise aux soins intensifs de l'hôpital de Grand-Yoff.
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