La question de la paix en Casamance a beaucoup dominé les débats du Bureau politique du Rassemblement pour le Socialisme et la Démocratie / Takku Defaraat Senegal (RSD / TDS) hier.
Les camarades de l’ancien ministre de l’Agriculture ne cessent d’interpeler le Gouvernement pour renouer les fils du dialogue. «Le parti n’a jamais cessé d’interpeler le Gouvernement pour que soit renoué le fil du dialogue » lit-on dans le communiqué. Pour Robert Sagna et ses camarades, le dialogue est d’une importance capitale que ne semble malheureusement pas percevoir le Chef de l’Etat qui, le 31 décembre 2009, dans son adresse à la Nation, n’a pas jugé nécessaire, voire utile, d’accorder une priorité à cette question qui a fini d’installer les populations de cette région dans la pauvreté, le désespoir et le chaos.
Les socio-démocrates estiment que le fait que cette question cruciale de la Casamance préoccupe autant le Khalife Général des Mourides au point de l’inscrire dans son discours officiel, lors du Magal, ne peut qu’interpeler plus d’un.
Car pour le RSD/TDS, même s’il y a des satisfactions dans le processus de paix en Casamance, il y a du chemin à faire. «Le RSD / TDS est convaincu que des avancées notables ont bel et bien été obtenues dans le règlement de cette crise. Mais, qu’elles ne sont rien, en l’état actuel où on les a bloquées, comparées à ce qu’il reste à faire et qui, malheureusement, n’est pas en train d’être fait pour arriver véritablement à une Paix définitive.
Le RSD/TDS estime que cette paix doit passer par le rétablissement de la santé économique sans quoi aucune paix ne sera possible. C’est pourquoi, le RDS/TDS considère que le Gouvernement d’Abdoulaye WADE doit user de tous les moyens pour rétablir la santé économique du pays, de la région sud en particulier, sans laquelle la stabilité politique et la Paix sont impossibles.
Les camarades de l’ancien ministre de l’Agriculture ne cessent d’interpeler le Gouvernement pour renouer les fils du dialogue. «Le parti n’a jamais cessé d’interpeler le Gouvernement pour que soit renoué le fil du dialogue » lit-on dans le communiqué. Pour Robert Sagna et ses camarades, le dialogue est d’une importance capitale que ne semble malheureusement pas percevoir le Chef de l’Etat qui, le 31 décembre 2009, dans son adresse à la Nation, n’a pas jugé nécessaire, voire utile, d’accorder une priorité à cette question qui a fini d’installer les populations de cette région dans la pauvreté, le désespoir et le chaos.
Les socio-démocrates estiment que le fait que cette question cruciale de la Casamance préoccupe autant le Khalife Général des Mourides au point de l’inscrire dans son discours officiel, lors du Magal, ne peut qu’interpeler plus d’un.
Car pour le RSD/TDS, même s’il y a des satisfactions dans le processus de paix en Casamance, il y a du chemin à faire. «Le RSD / TDS est convaincu que des avancées notables ont bel et bien été obtenues dans le règlement de cette crise. Mais, qu’elles ne sont rien, en l’état actuel où on les a bloquées, comparées à ce qu’il reste à faire et qui, malheureusement, n’est pas en train d’être fait pour arriver véritablement à une Paix définitive.
Le RSD/TDS estime que cette paix doit passer par le rétablissement de la santé économique sans quoi aucune paix ne sera possible. C’est pourquoi, le RDS/TDS considère que le Gouvernement d’Abdoulaye WADE doit user de tous les moyens pour rétablir la santé économique du pays, de la région sud en particulier, sans laquelle la stabilité politique et la Paix sont impossibles.