« J’ai deux précisions à apporter. La première c’est qu’il n’est pas interdit de diffuser un Ndingueul (consigne de vote en Wolof). Toute la presse diffuse des Ndingueuls au quotidien. Regardez juste dans la presse vous verrez des Ndingueuls de tel ou de tel. Y compris la RTS, il n’est pas interdit de diffuser un Ndingueul. Si la RTS a reçu une lettre du CNRA, c’est parce qu’un des compagnons de Cheikh Bethio Thioune avait cité Soïbou Cissé et de ce fait. Ce dernier avait un droit de réponse », martèle le directeur général de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS) sur les ondes de la radio locale privée « RFM ».
En ce qui concerne le droit de réponse de Soïbou Cissé, le DG de la RTS précise : « C’est bien Soïbou Cissé qui est venu à la RTS, accompagné de cinq (05) membres de l’Apr pour renoncer à son droit de réponse ». « Encore une fois le Ndingueul n’est pas interdit. Il faut quand même regarder les textes. La RTS est respectueuse des textes avant, il y avait un mois avant la campagne et la précampagne c’était interdit, pendant la campagne ça l’est, aujourd’hui non. La campagne ne commence qu’avec la publication officielle des résultats par le Conseil constitutionnel.
Pour Modou Ngom, membre du Conseil national de la régulation de l’audiovisuel (CNRA), il n’est pas question de campagne électorale mais plutôt de droit de réponse. « Ce n’est pas pour des propos de Ndingueul ou des propos de précampagne. La preuve, on n’a pas visé l’article L63 qui parle de la précampagne et de la campagne. Nous avons visé tout simplement et conformément au désir de la coalition « Macky2012 », les articles L-E-125 et L-E-131 sur l’équilibre et l’équité, etc. et ensuite les articles 10 et 11 de la Loi sur la presse, c'est-à-dire la Loi 96-04 du 22 février 96 sur les droits de réponse. Donc ce n’est pas la première fois, les télévisions privées ont souvent obtempéré » souligne Modou Ngom du CNRA.
« Je prends juste l’exemple de la télévision TFM, quand ils ont voulu programmer leur émission Show-électorale juste on a sur la base de la bande annonce, on leur a fait une mise en demeure pour leur dire que tel que libeller dans la bande annonce si cette émission est diffusée, elle contraire donc aux lois et règlements régissant cette période là qui était la période de la précampagne. Et ils ont obtempéré. Il n’y a pas de problèmes. Donc cette mise en demeure de la RTS ne sort pas de l’ordinaire » précise M. Ngom du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA).
En ce qui concerne le droit de réponse de Soïbou Cissé, le DG de la RTS précise : « C’est bien Soïbou Cissé qui est venu à la RTS, accompagné de cinq (05) membres de l’Apr pour renoncer à son droit de réponse ». « Encore une fois le Ndingueul n’est pas interdit. Il faut quand même regarder les textes. La RTS est respectueuse des textes avant, il y avait un mois avant la campagne et la précampagne c’était interdit, pendant la campagne ça l’est, aujourd’hui non. La campagne ne commence qu’avec la publication officielle des résultats par le Conseil constitutionnel.
Pour Modou Ngom, membre du Conseil national de la régulation de l’audiovisuel (CNRA), il n’est pas question de campagne électorale mais plutôt de droit de réponse. « Ce n’est pas pour des propos de Ndingueul ou des propos de précampagne. La preuve, on n’a pas visé l’article L63 qui parle de la précampagne et de la campagne. Nous avons visé tout simplement et conformément au désir de la coalition « Macky2012 », les articles L-E-125 et L-E-131 sur l’équilibre et l’équité, etc. et ensuite les articles 10 et 11 de la Loi sur la presse, c'est-à-dire la Loi 96-04 du 22 février 96 sur les droits de réponse. Donc ce n’est pas la première fois, les télévisions privées ont souvent obtempéré » souligne Modou Ngom du CNRA.
« Je prends juste l’exemple de la télévision TFM, quand ils ont voulu programmer leur émission Show-électorale juste on a sur la base de la bande annonce, on leur a fait une mise en demeure pour leur dire que tel que libeller dans la bande annonce si cette émission est diffusée, elle contraire donc aux lois et règlements régissant cette période là qui était la période de la précampagne. Et ils ont obtempéré. Il n’y a pas de problèmes. Donc cette mise en demeure de la RTS ne sort pas de l’ordinaire » précise M. Ngom du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA).