Après la diffusion de l'information sur l'agression supposée du Docteur Babacar Diop, par quatre gardes pénitentiaires, dans la presse, l'administration pénitentiaire de la prison de Rebeuss a sorti un communiqué pour démentir.
Face à la presse ce vendredi, le professeur est revenu sur les faits en révélant comment les autorités de la Maison d'arrêt et de correction ont tenté d'étouffer l'affaire avec une proposition à lui faite.
"Le vendredi 20 décembre, vers 10 h 30 minutes, j’ai été agressé de manière lâche et sauvage par quatre gardes pénitentiaires dont je connais trois noms parmi les quatre. L’administration pénitentiaire a tenté d’étouffer l’affaire en vain. Par la suite, elle m’a proposé de parler à une presse qu’elle avait sélectionnée pour que je calme la situation dans le pays. J’ai lu le communiqué de presse de l’administration pénitentiaire, et je vous dis clairement que c’est un tissu de mensonges et de contre-vérités", a affirmé le leader des Fds.
Babacar Diop ne compte pas laisser ses "agresseurs" s'en sortir sans que justice se fasse. Il a annoncé une plainte de ses avocats dès la semaine prochaine. "Je tiens à ce que justice soit rendue, pour que de telles pratiques disparaissent à jamais dans ce pays. Des personnes, témoins des faits sont prêtes à témoigner. Une plainte sera déposée par mes avocats dès la semaine prochaine", dit-il.
Docteur Babacar Diop a également raconté l'épisode de son entrée à Rebeuss et le "comité d'accueil" qui l'attendait de mains fermes. "Arrêtés le vendredi 29 novembre 2019, nous avons été placés sous mandat de dépôt le mercredi 04 décembre 2019. Je suis arrivé à la maison d’arrêt de Rebeuss vers 19 h 30 minutes. J’ai été agressé par deux agents de l’administration pénitentiaire qui m’ont accueilli en disant ; «Ici, c’est Rebeuss, toi, tu passes ton temps à la télé. Tu parles trop. Tu vas voir", a-t-il révélé.
Face à la presse ce vendredi, le professeur est revenu sur les faits en révélant comment les autorités de la Maison d'arrêt et de correction ont tenté d'étouffer l'affaire avec une proposition à lui faite.
"Le vendredi 20 décembre, vers 10 h 30 minutes, j’ai été agressé de manière lâche et sauvage par quatre gardes pénitentiaires dont je connais trois noms parmi les quatre. L’administration pénitentiaire a tenté d’étouffer l’affaire en vain. Par la suite, elle m’a proposé de parler à une presse qu’elle avait sélectionnée pour que je calme la situation dans le pays. J’ai lu le communiqué de presse de l’administration pénitentiaire, et je vous dis clairement que c’est un tissu de mensonges et de contre-vérités", a affirmé le leader des Fds.
Babacar Diop ne compte pas laisser ses "agresseurs" s'en sortir sans que justice se fasse. Il a annoncé une plainte de ses avocats dès la semaine prochaine. "Je tiens à ce que justice soit rendue, pour que de telles pratiques disparaissent à jamais dans ce pays. Des personnes, témoins des faits sont prêtes à témoigner. Une plainte sera déposée par mes avocats dès la semaine prochaine", dit-il.
Docteur Babacar Diop a également raconté l'épisode de son entrée à Rebeuss et le "comité d'accueil" qui l'attendait de mains fermes. "Arrêtés le vendredi 29 novembre 2019, nous avons été placés sous mandat de dépôt le mercredi 04 décembre 2019. Je suis arrivé à la maison d’arrêt de Rebeuss vers 19 h 30 minutes. J’ai été agressé par deux agents de l’administration pénitentiaire qui m’ont accueilli en disant ; «Ici, c’est Rebeuss, toi, tu passes ton temps à la télé. Tu parles trop. Tu vas voir", a-t-il révélé.