Le communiqué du ministère donne la position du Sénégal après publication de la note de Moody's qui a rétrogradé lé pays de Ba3 à B1. Le ministère dans son communiqué en date du jeudi 04 a clairement fait mention de sa volonté d'avoir commandité cet audit. Qui renseigne-t-il, "répond aux exigences de la loi 2012-22 du 27 décembre 2012 portant Code de transparence dans la gestion des finances publiques". Tout en ajoutant : "Face à cette situation, le Ministre des Finances et du Budget réaffirme la volonté ferme du Gouvernement de mettre en œuvre rapidement des réformes ambitieuses pour réduire significativement le déficit dès 2025 et consolider cette baisse à court terme, en accord avec les engagements pris au sein de l’UEMOA et de la CEDEAO. De plus, une trajectoire claire sera définie pour abaisser le taux d’endettement".
Sous cet angle, le Sénégal entreprendra la mis en œuvre des réformes structurelles visant à renforcer l’intégrité du cadre de gestion des finances publiques tout en visant des standards internationaux élevés. De plus, dit la note de l'argentier de l'Etat du Sénégal "dans cet esprit, le Sénégal poursuivra sa collaboration avec ses partenaires internationaux notamment la Banque Mondiale et le FMI mais aussi la CEDEAO, l'UEMOA, la BCEAO, la Banque Africaine de Développement, la BOAD et tous ses partenaires régionaux pour améliorer la gestion de la dette, renforcer la gouvernance financière et assurer une transparence accrue dans les processus budgétaires".
Poursuivant la même logique de transparence, l'Etat du Sénégal a fait part de la mise en place de réformes qui comprendront : " l’adoption de systèmes financiers intégrés et informatisés, le renforcement des mécanismes de contrôle et l’amélioration de la coordination institutionnelle pour garantir une prise de décision efficace. Tout ceci sera réalisé en cohérence avec les normes communautaires liant notre pays à la CEDEAO et à l’UEMOA, tout en se conformant aux meilleures pratiques".
Sur ce, le gouvernement de Diomaye dit être "ouvert au dialogue avec ses partenaires tout au long du processus afin de garantir un avenir économique stable et prospère". Manifestant sa bonne foi dans la transparence, l'Etat a promis des mises à jours régulières qui seront rendues publiques par des communiqués de presse, des conférences, des plateformes etc.
Sous cet angle, le Sénégal entreprendra la mis en œuvre des réformes structurelles visant à renforcer l’intégrité du cadre de gestion des finances publiques tout en visant des standards internationaux élevés. De plus, dit la note de l'argentier de l'Etat du Sénégal "dans cet esprit, le Sénégal poursuivra sa collaboration avec ses partenaires internationaux notamment la Banque Mondiale et le FMI mais aussi la CEDEAO, l'UEMOA, la BCEAO, la Banque Africaine de Développement, la BOAD et tous ses partenaires régionaux pour améliorer la gestion de la dette, renforcer la gouvernance financière et assurer une transparence accrue dans les processus budgétaires".
Poursuivant la même logique de transparence, l'Etat du Sénégal a fait part de la mise en place de réformes qui comprendront : " l’adoption de systèmes financiers intégrés et informatisés, le renforcement des mécanismes de contrôle et l’amélioration de la coordination institutionnelle pour garantir une prise de décision efficace. Tout ceci sera réalisé en cohérence avec les normes communautaires liant notre pays à la CEDEAO et à l’UEMOA, tout en se conformant aux meilleures pratiques".
Sur ce, le gouvernement de Diomaye dit être "ouvert au dialogue avec ses partenaires tout au long du processus afin de garantir un avenir économique stable et prospère". Manifestant sa bonne foi dans la transparence, l'Etat a promis des mises à jours régulières qui seront rendues publiques par des communiqués de presse, des conférences, des plateformes etc.