Le Président Bassirou Diomaye Faye, avait promis dès son installation à la tête du pouvoir de faire de la lutte contre la vie chère son cheval de bataille. A cet effet, il avait reçu au palais une délégation des opérateurs économiques, à ses premiers jours du côté de l'avenue Léopold Sédar Senghor. C'était pour scruter les voies et les moyens de concrétiser ces actes. En attendant de traduire cette idée en actes, les différents acteurs ont manifesté leur bonne volonté, en faisant des propositions au gouvernement. C'est du moins l'avis de certains opérateurs économiques.
Les membres des organisations du commerce ont été activement impliqués dans les commissions qui ont été mises en place. Pour Malick Guèye de l'Unacois/Yessal, " tout le monde a participé à cet entretien pour essayer de voir quels sont les voies et moyens pour une réduction des prix des denrées de première nécessité. Ce qui sortira de cet entretien sera présenté au Président qui à travers son ministre de l'industrie et du commerce qui va donner la ligne à suivre".
Lors ces différents entretiens les propositions étaient toutes pertinentes à en croire monsieur Guèye. Mais la plus sagace reste la diminution du coût de transport des marchandises. Si cela est fait, pense-t-il, "les prix de certaines denrées pourraient bien diminuer". Dans une large mesure, le transport vers l'intérieur du pays coûte cher aux opérateurs. Et ceci a toujours été le cri de coeur des acteurs du commerce.
Les cas les plus édifiants sont ceux de Tambacounda et de Sédhiou. A titre d'exemple, fait remarquer, le membre de l'Unacois/Yessal, "au moins, il faut 20 mille FCFA pour transporter une tonne de riz vers ses lieux". Sur ce, poursuit monsieur Guèye, " nous avons proposer l'allègement au niveau du transport pour qu'il y'ait une diminution sur le prix final, sur le prix du client. Nous avons aussi proposer des diminution sur les coûts de la douane. Nous savons bien que les coûts de la douane font que le prix du client est élevé. Sur ce point, nous avons proposé au président de la République et au Premier ministre qu'il y' ait une réduction des taxes douanières".
Les membres des organisations du commerce ont été activement impliqués dans les commissions qui ont été mises en place. Pour Malick Guèye de l'Unacois/Yessal, " tout le monde a participé à cet entretien pour essayer de voir quels sont les voies et moyens pour une réduction des prix des denrées de première nécessité. Ce qui sortira de cet entretien sera présenté au Président qui à travers son ministre de l'industrie et du commerce qui va donner la ligne à suivre".
Lors ces différents entretiens les propositions étaient toutes pertinentes à en croire monsieur Guèye. Mais la plus sagace reste la diminution du coût de transport des marchandises. Si cela est fait, pense-t-il, "les prix de certaines denrées pourraient bien diminuer". Dans une large mesure, le transport vers l'intérieur du pays coûte cher aux opérateurs. Et ceci a toujours été le cri de coeur des acteurs du commerce.
Les cas les plus édifiants sont ceux de Tambacounda et de Sédhiou. A titre d'exemple, fait remarquer, le membre de l'Unacois/Yessal, "au moins, il faut 20 mille FCFA pour transporter une tonne de riz vers ses lieux". Sur ce, poursuit monsieur Guèye, " nous avons proposer l'allègement au niveau du transport pour qu'il y'ait une diminution sur le prix final, sur le prix du client. Nous avons aussi proposer des diminution sur les coûts de la douane. Nous savons bien que les coûts de la douane font que le prix du client est élevé. Sur ce point, nous avons proposé au président de la République et au Premier ministre qu'il y' ait une réduction des taxes douanières".