La sortie du deuxième adjoint au maire de Ziguinchor et sénateur, Mamadou Lamine Sakho n’a pas eu leurre de plaire à l’édile et, par ailleurs, ministre d’Etat, ministre de la Justice, Abdoulaye Baldé. Il a, ainsi, rappliqué à sa ville le week-end qui a suivi ces attaques pour répliquer et stopper net «ces attaques, chantages et menaces».
«Même si certains pensent que ce sont des spéculations, des rumeurs mal vaillantes orchestrées par des pyromanes, je dois vous dire que je ne céderais plus à aucune forme de contestations internes, à aucune forme de chantage que quiconque ferait sur moi. Et ni la pression, ni l’intimidation ne passeront plus avec moi. Car le temps de la politique et de la parole est fini parce que nous devons passer à l’action pour amorcer le développer économique et social de notre région», a martelé sur un ton très ferme, Abdoulaye Baldé.
Il dégage d’un revers de la main toute information tendant à accréditer que la situation est alarmante au niveau de la mairie. L’édile de la capitale du Sud a, en fait, estimé : «il faut reconnaître qu’il y’ a eu des informations inexactes, non fondées sur cette lettre que Mamadou Lamine Sakho m’a adressée. Son courrier parlait plutôt d’un certain nombre de relation entre le cabinet, l’administration municipale, un peu des élus et je pense que c’est son droit le plus absolu. Nous sommes dans une institution et nous avons le droit de partager les idées».
Abdoulaye Baldé d’être plus radicale : «je suis formel parce que je ne me laisserai plus faire. Car nos populations nous attendent sur les réalisations et non sur des querelles qui ne nous avanceront nullement. Je suis élu pour cinq ans et ce qui m’intéresse encore une fois c’est bien la réalisation des promesses faites aux populations de ma ville». Après avoir fait montre de fermeté, il a invité ses frères à un climat apaisé.
Le ministre de la justice a, par ailleurs, annoncé la construction d’un complexe sportif multifonctionnel d’une valeur de 600 millions de Fcfa, l’extension du réseau électrique de la commune, la construction d’un centre commercial moderne. «Grâce à la coopération décentralisée, nous sommes en train de travailler à l’implantation progressive de petites unités industrielles avec en orbite la possibilité d’ériger à Ziguinchor une véritable zone franche industrielle», a-t-il précisé.
«Même si certains pensent que ce sont des spéculations, des rumeurs mal vaillantes orchestrées par des pyromanes, je dois vous dire que je ne céderais plus à aucune forme de contestations internes, à aucune forme de chantage que quiconque ferait sur moi. Et ni la pression, ni l’intimidation ne passeront plus avec moi. Car le temps de la politique et de la parole est fini parce que nous devons passer à l’action pour amorcer le développer économique et social de notre région», a martelé sur un ton très ferme, Abdoulaye Baldé.
Il dégage d’un revers de la main toute information tendant à accréditer que la situation est alarmante au niveau de la mairie. L’édile de la capitale du Sud a, en fait, estimé : «il faut reconnaître qu’il y’ a eu des informations inexactes, non fondées sur cette lettre que Mamadou Lamine Sakho m’a adressée. Son courrier parlait plutôt d’un certain nombre de relation entre le cabinet, l’administration municipale, un peu des élus et je pense que c’est son droit le plus absolu. Nous sommes dans une institution et nous avons le droit de partager les idées».
Abdoulaye Baldé d’être plus radicale : «je suis formel parce que je ne me laisserai plus faire. Car nos populations nous attendent sur les réalisations et non sur des querelles qui ne nous avanceront nullement. Je suis élu pour cinq ans et ce qui m’intéresse encore une fois c’est bien la réalisation des promesses faites aux populations de ma ville». Après avoir fait montre de fermeté, il a invité ses frères à un climat apaisé.
Le ministre de la justice a, par ailleurs, annoncé la construction d’un complexe sportif multifonctionnel d’une valeur de 600 millions de Fcfa, l’extension du réseau électrique de la commune, la construction d’un centre commercial moderne. «Grâce à la coopération décentralisée, nous sommes en train de travailler à l’implantation progressive de petites unités industrielles avec en orbite la possibilité d’ériger à Ziguinchor une véritable zone franche industrielle», a-t-il précisé.