Ce programme ambitieux, selon le communiqué de la Banque mondiale, parvenu à PressAfrik "vise à améliorer considérablement les conditions de vie ainsi qu’à créer de nouvelles opportunités, positionne l’Association internationale de développement (IDA) de la Banque mondiale comme un élément essentiel de succès". Cette rencontre a été aussi l'occasion pour les dirigeants africains "de montrer leur engagement indéfectible à renforcer la gouvernance, libérer le potentiel du secteur privé pour la création d’emplois, mobiliser les ressources nationales et tenir les promesses en matière de changement climatique".
Dans son intervention, le Président Kenyan, Docteur William Ruto s'est appesanti sur le rôle essentiel de l'IDA. Aussi, il a souligné "l’urgence du changement pour le continent et son désir de capitaliser sur l’opportunité de ce moment charnière". Le Président Ruto a défendu en même temps et avec ardeur le renforcement des contributions des donateurs à l’IDA-21, il a aussi souligné son rôle dans les changements transformateurs en Afrique, et dans le monde entier. « Notre peuple et nous, les dirigeants de l’Afrique, sommes impatients de voir le changement s’opérer et nous voulons transformer le continent en ce moment de formidables opportunités », a déclaré le Président Ruto.
Pour le président du Groupe de la Banque mondiale, Ajay Banga, il est nécessaire que l'Afrique ait "le soutien indéfectible du monde entier particulièrement celui de l'IDA". « Nous sommes unis par une vision commune pour l’avenir de l’Afrique – un continent riche en diversité, en culture et en potentiel, grâce à ses jeunes et à ses ressources naturelles », a déclaré Ajay Banga.
Et monsieur Banga d'ajouter, « ce sont les ingrédients qui peuvent alimenter notre avenir. L’Association internationale de développement a été un partenaire indéfectible dans le parcours du développement de l’Afrique, et ce sommet symbolise notre engagement collectif à accélérer les progrès. Ce qui exigera davantage de l’IDA, du Groupe de la Banque mondiale, des gouvernements et du secteur privé. »
L'IDA, comme souligné dans le communiqué est "un puissant moteur de croissance économique en Afrique et depuis des décennies. Dans ses actions, il soutient 75 pays dans le monde, dont 39 en Afrique. Plus de 70 % de ses ressources sont destinées au continent, jouant un rôle essentiel dans la réalisation de l’objectif du Groupe de la Banque mondiale de fournir de l’électricité à 250 millions d’Africains d’ici 2030".
Dans son intervention, le Président Kenyan, Docteur William Ruto s'est appesanti sur le rôle essentiel de l'IDA. Aussi, il a souligné "l’urgence du changement pour le continent et son désir de capitaliser sur l’opportunité de ce moment charnière". Le Président Ruto a défendu en même temps et avec ardeur le renforcement des contributions des donateurs à l’IDA-21, il a aussi souligné son rôle dans les changements transformateurs en Afrique, et dans le monde entier. « Notre peuple et nous, les dirigeants de l’Afrique, sommes impatients de voir le changement s’opérer et nous voulons transformer le continent en ce moment de formidables opportunités », a déclaré le Président Ruto.
Pour le président du Groupe de la Banque mondiale, Ajay Banga, il est nécessaire que l'Afrique ait "le soutien indéfectible du monde entier particulièrement celui de l'IDA". « Nous sommes unis par une vision commune pour l’avenir de l’Afrique – un continent riche en diversité, en culture et en potentiel, grâce à ses jeunes et à ses ressources naturelles », a déclaré Ajay Banga.
Et monsieur Banga d'ajouter, « ce sont les ingrédients qui peuvent alimenter notre avenir. L’Association internationale de développement a été un partenaire indéfectible dans le parcours du développement de l’Afrique, et ce sommet symbolise notre engagement collectif à accélérer les progrès. Ce qui exigera davantage de l’IDA, du Groupe de la Banque mondiale, des gouvernements et du secteur privé. »
L'IDA, comme souligné dans le communiqué est "un puissant moteur de croissance économique en Afrique et depuis des décennies. Dans ses actions, il soutient 75 pays dans le monde, dont 39 en Afrique. Plus de 70 % de ses ressources sont destinées au continent, jouant un rôle essentiel dans la réalisation de l’objectif du Groupe de la Banque mondiale de fournir de l’électricité à 250 millions d’Africains d’ici 2030".