«En recevant le 1er mai dernier les syndicalistes venus lui présenter leurs cahiers de doléances, le Chef de l’Etat a remis sur le tapis le dossier de la route Kaolack-Fatick dont mes collaborateurs et moi avions décidé de ne plus parler», souligne Bara Tall.
Selon le PDG du groupe Talix, le Président de la République a encore une fois, et à la suite de plusieurs personnalités que lui et son fils actionnent quand ils veulent, tenté de faire croire que ce qui nous oppose à lui, en tant qu’entrepreneur, et, en filigrane, en tant que citoyen décidé à participer activement à l’assainissement du mode de gouvernance de son pays, c’est ce dossier. Ce qui n’en est pas le cas. «Je sais que, techniquement, je suis inattaquable sur ce dossier, je m’en suis amplement et à plusieurs occasions, expliqué», rassure le natif de Thiès.
D’ailleurs, rappelle-t-il «nous avons été les premiers à ester devant la justice en Février 2008 parce que l’Etat refusait, entre autres, d’honorer plusieurs factures dues à mon entreprise».
A l’en croire, «pour toute réponse, ce dossier, qui est un prétexte parmi d’autres qui sont régulièrement saisis, fut monté à la hâte en avril 2008, en une semaine, pour trouver une justification légale à l’acharnement du clan Wade sur mon entreprise et moi-même».
Aussi, retrace-t-il «sur ce dossier de la route Kaolack-Fatick, nous avons eu quatre fois raison sur l’Etat du Sénégal».
Dans ce courrier qu’il a adressé au chef de l’Etat, le PDG du groupe Talix estime que la plus haute autorité du pays, le Président de la République, s’évertue, après avoir tué son entreprise, Jean Lefebvre-Sénégal, à entretenir une confusion sur les raisons qui l’ont conduit à décider de son élimination pure et simple, en tant qu’entrepreneur, du marché national.
Et toujours selon Bara Tall, cette décision «arbitraire» est née de son refus d’accepter l’inacceptable qui était de cautionner une cabale où s’entremêlaient intérêts économiques et stratégies politiques.
«Si lors de notre rencontre du 2 novembre 2006, qui sera suivie de mon emprisonnement, 19 jours après, j’avais accepté le deal qu’on m’avait proposé, je n’aurai jamais connu les affres de la prison, et j’en serais, peut-être aussi, sorti enrichi à milliards», révèle Bara Tall qui promet de revenir un jour en détail sur cette histoire.
Le Patron de Talix explique qu’il n’est pas en train de refuser de se soumettre à une décision de Justice se voulant juste être rationnel. «Je ne la (la route Kaolack-Fatick) ferais pas refaire par mon entreprise à ses frais comme l’Etat me le demande», a fait savoir Bara Tall qui précise qu’au le cas échéant, JLS ne saurait la refaire que conformément à ce qu’on lui avait commandé. Alors que l’objectif était tout autre. «Or, je l’ai dit et répété et les faits nous ont donné raison sur le tronçon de Kaolack-Tambacounda en cours de réalisation, JLS ou n’importe quelle autre entreprise qui referait vingt fois cette route avec ce même cahier des charges, verrait la route se dégrader vingt fois avant un an, si elle est soumise à son utilisation actuelle», renseigne-t-il.
Selon le PDG du groupe Talix, le Président de la République a encore une fois, et à la suite de plusieurs personnalités que lui et son fils actionnent quand ils veulent, tenté de faire croire que ce qui nous oppose à lui, en tant qu’entrepreneur, et, en filigrane, en tant que citoyen décidé à participer activement à l’assainissement du mode de gouvernance de son pays, c’est ce dossier. Ce qui n’en est pas le cas. «Je sais que, techniquement, je suis inattaquable sur ce dossier, je m’en suis amplement et à plusieurs occasions, expliqué», rassure le natif de Thiès.
D’ailleurs, rappelle-t-il «nous avons été les premiers à ester devant la justice en Février 2008 parce que l’Etat refusait, entre autres, d’honorer plusieurs factures dues à mon entreprise».
A l’en croire, «pour toute réponse, ce dossier, qui est un prétexte parmi d’autres qui sont régulièrement saisis, fut monté à la hâte en avril 2008, en une semaine, pour trouver une justification légale à l’acharnement du clan Wade sur mon entreprise et moi-même».
Aussi, retrace-t-il «sur ce dossier de la route Kaolack-Fatick, nous avons eu quatre fois raison sur l’Etat du Sénégal».
Dans ce courrier qu’il a adressé au chef de l’Etat, le PDG du groupe Talix estime que la plus haute autorité du pays, le Président de la République, s’évertue, après avoir tué son entreprise, Jean Lefebvre-Sénégal, à entretenir une confusion sur les raisons qui l’ont conduit à décider de son élimination pure et simple, en tant qu’entrepreneur, du marché national.
Et toujours selon Bara Tall, cette décision «arbitraire» est née de son refus d’accepter l’inacceptable qui était de cautionner une cabale où s’entremêlaient intérêts économiques et stratégies politiques.
«Si lors de notre rencontre du 2 novembre 2006, qui sera suivie de mon emprisonnement, 19 jours après, j’avais accepté le deal qu’on m’avait proposé, je n’aurai jamais connu les affres de la prison, et j’en serais, peut-être aussi, sorti enrichi à milliards», révèle Bara Tall qui promet de revenir un jour en détail sur cette histoire.
Le Patron de Talix explique qu’il n’est pas en train de refuser de se soumettre à une décision de Justice se voulant juste être rationnel. «Je ne la (la route Kaolack-Fatick) ferais pas refaire par mon entreprise à ses frais comme l’Etat me le demande», a fait savoir Bara Tall qui précise qu’au le cas échéant, JLS ne saurait la refaire que conformément à ce qu’on lui avait commandé. Alors que l’objectif était tout autre. «Or, je l’ai dit et répété et les faits nous ont donné raison sur le tronçon de Kaolack-Tambacounda en cours de réalisation, JLS ou n’importe quelle autre entreprise qui referait vingt fois cette route avec ce même cahier des charges, verrait la route se dégrader vingt fois avant un an, si elle est soumise à son utilisation actuelle», renseigne-t-il.
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