Mark Zuckerberg est nerveux alors qu’il s’apprête à accueillir le président américain, mercredi 20 avril, au siège de Facebook, à Palo Alto (Californie).
Pour l’occasion, le créateur du réseau social a abandonné son traditionnel pull à capuche et porte un costume sombre. Barack Obama s’en amuse : « Je suis Barack Obama et c’est moi qui ai réussi à faire porter une veste et une cravate à Mark. » Les deux hommes s’accordent alors à retirer leur veste. Barack Obama retrousse les manches de sa chemise blanche.
Oublié le président, c’est alors le candidat Obama qui attaque le projet de budget des Républicains : « Si nous faisons que couper dans les dépenses sans discernement, si nous utilisons une machette plutôt qu’un scalpel, affirme-t-il, nous allons couper dans ce qui peut créer des emplois, nous allons creuser le déficit en plongeant dans une nouvelle récession. »
Terrain conquis
Dans la salle, les employés de Facebook posent des questions très polies. Mark Zuckerberg choisit celles posées via internet. Le débat est courtois, presque ennuyeux. Barack Obama est en terrain conquis, il n’hésite pas à s’adresser à ceux qui l’ont élu il y a deux ans et demi. « Quel que soit votre camp politique, vous devez vous engager et surtout vous les jeunes, votre génération. Si vous mettez la même énergie, la même imagination que vous mettez dans Facebook dans la vie politique, il n’y a rien que nous ne puissions résoudre », conclut-il.
Pour l’occasion, le créateur du réseau social a abandonné son traditionnel pull à capuche et porte un costume sombre. Barack Obama s’en amuse : « Je suis Barack Obama et c’est moi qui ai réussi à faire porter une veste et une cravate à Mark. » Les deux hommes s’accordent alors à retirer leur veste. Barack Obama retrousse les manches de sa chemise blanche.
Oublié le président, c’est alors le candidat Obama qui attaque le projet de budget des Républicains : « Si nous faisons que couper dans les dépenses sans discernement, si nous utilisons une machette plutôt qu’un scalpel, affirme-t-il, nous allons couper dans ce qui peut créer des emplois, nous allons creuser le déficit en plongeant dans une nouvelle récession. »
Terrain conquis
Dans la salle, les employés de Facebook posent des questions très polies. Mark Zuckerberg choisit celles posées via internet. Le débat est courtois, presque ennuyeux. Barack Obama est en terrain conquis, il n’hésite pas à s’adresser à ceux qui l’ont élu il y a deux ans et demi. « Quel que soit votre camp politique, vous devez vous engager et surtout vous les jeunes, votre génération. Si vous mettez la même énergie, la même imagination que vous mettez dans Facebook dans la vie politique, il n’y a rien que nous ne puissions résoudre », conclut-il.
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