C’est la seconde fois en moins de dix jours que l’Égypte menace l’Éthiopie. Il y a une semaine, le président avait tenu une réunion avec les chefs des mêmes partis islamistes ou alliés.
Plusieurs d’entre eux avaient tenu un discours ouvertement va-t-en-guerre que le président Mohamed Morsi a approuvé par son silence. Il y a été question de bombardement aérien ou à coup de missiles à longue portée du barrage éthiopien. Certains ont même recommandé que les services secrets fomentent des troubles en Éthiopie par le biais de la Somalie et de l’Érythrée. Et tout cela était diffusé en direct à la télévision.
Les premières réactions de l’opposition ont déjà fusé : un discours « fasciste » qui parle d’unité des rangs et d’intérêt national en vue de museler l’opposition. Celle-ci réclame des élections présidentielles anticipées et a lancé une pétition qui a déjà réuni plus de dix millions de signatures. Une manifestation monstre est prévue à la fin du mois pour obtenir le départ du président Morsi.
Plusieurs d’entre eux avaient tenu un discours ouvertement va-t-en-guerre que le président Mohamed Morsi a approuvé par son silence. Il y a été question de bombardement aérien ou à coup de missiles à longue portée du barrage éthiopien. Certains ont même recommandé que les services secrets fomentent des troubles en Éthiopie par le biais de la Somalie et de l’Érythrée. Et tout cela était diffusé en direct à la télévision.
Les premières réactions de l’opposition ont déjà fusé : un discours « fasciste » qui parle d’unité des rangs et d’intérêt national en vue de museler l’opposition. Celle-ci réclame des élections présidentielles anticipées et a lancé une pétition qui a déjà réuni plus de dix millions de signatures. Une manifestation monstre est prévue à la fin du mois pour obtenir le départ du président Morsi.