«Le groupe monte-t-il en intensité ?
Oui, cela me semble logique. Après, le top départ c'est à 20h45 demain (21h, ndlr). Il y a de la déception, de la frustration mais on n'a pas le temps de s'attarder. Il faut basculer sur ce qui nous attend demain.
Comment mettre de la folie sans être désorganisé ?
C'est jouable et réalisable. Ce n'est pas incompatible. Il y a un risque mais la qualification passe par un match qui doit être hors normes. Donc il faut des ingrédients : se sublimer, se surpasser en gardant la maîtrise.
Avez-vous un appel à lancer au public ?
Les gens seront là, le stade sera plein. C'est à nous sur le terrain, de par ce qu'on fera, la détermination qu'on aura, à les amener avec nous. Mais on aura besoin d'eux.
Le danger n'est-il pas de vouloir marquer trop tôt et se lancer à l'abordage ?
Le scénario idéal est de marquer rapidement mais il ne faudra pas de l'impatience non plus. Le temps ne joue pas pour nous mais ça peut se faire aussi au fil du match. Il faut donc emballer, mettre de la folie mais il faudra un juste milieu. Et je ne pense pas que l'Ukraine viendra juste pour défendre. Il faudra des qualités pour attaquer mais pour défendre aussi.
Envisagez-vous le pire dans votre préparation du match ?
Pas du tout. Je suis focalisé et je fais en sorte de mettre toute mon énergie sur ce qui nous attend. Après on verra.
Quand vous pensez à l'après-match, vous n'avez que des images positives en tête ?
Je ne pense pas à l'après-match. Je pense au match pour une conclusion heureuse oui. Mais je ne pense pas à l'après. Il faut le faire, le jouer et le gagner si on veut, et on le veut, atteindre l'objectif qu'on avait et que l'on a. Même si la situation est difficile aujourd'hui.
Comment faire pour que Ribéry ait plus de libertés qu'à l'aller ou que ses coéquipiers profitent de son marquage ?
Je ne pense pas qu'il aura plus de libertés. Il sera très surveillé, il faudra du soutien plus proche et à partir du moment où il y a 2 voire 3 adversaires sur lui, il y en aura moins dans d'autres zones. Donc il faudra être autour et proche de lui pour profiter de cette situation.» (Avec AFP)
Oui, cela me semble logique. Après, le top départ c'est à 20h45 demain (21h, ndlr). Il y a de la déception, de la frustration mais on n'a pas le temps de s'attarder. Il faut basculer sur ce qui nous attend demain.
Comment mettre de la folie sans être désorganisé ?
C'est jouable et réalisable. Ce n'est pas incompatible. Il y a un risque mais la qualification passe par un match qui doit être hors normes. Donc il faut des ingrédients : se sublimer, se surpasser en gardant la maîtrise.
Avez-vous un appel à lancer au public ?
Les gens seront là, le stade sera plein. C'est à nous sur le terrain, de par ce qu'on fera, la détermination qu'on aura, à les amener avec nous. Mais on aura besoin d'eux.
Le danger n'est-il pas de vouloir marquer trop tôt et se lancer à l'abordage ?
Le scénario idéal est de marquer rapidement mais il ne faudra pas de l'impatience non plus. Le temps ne joue pas pour nous mais ça peut se faire aussi au fil du match. Il faut donc emballer, mettre de la folie mais il faudra un juste milieu. Et je ne pense pas que l'Ukraine viendra juste pour défendre. Il faudra des qualités pour attaquer mais pour défendre aussi.
Envisagez-vous le pire dans votre préparation du match ?
Pas du tout. Je suis focalisé et je fais en sorte de mettre toute mon énergie sur ce qui nous attend. Après on verra.
Quand vous pensez à l'après-match, vous n'avez que des images positives en tête ?
Je ne pense pas à l'après-match. Je pense au match pour une conclusion heureuse oui. Mais je ne pense pas à l'après. Il faut le faire, le jouer et le gagner si on veut, et on le veut, atteindre l'objectif qu'on avait et que l'on a. Même si la situation est difficile aujourd'hui.
Comment faire pour que Ribéry ait plus de libertés qu'à l'aller ou que ses coéquipiers profitent de son marquage ?
Je ne pense pas qu'il aura plus de libertés. Il sera très surveillé, il faudra du soutien plus proche et à partir du moment où il y a 2 voire 3 adversaires sur lui, il y en aura moins dans d'autres zones. Donc il faudra être autour et proche de lui pour profiter de cette situation.» (Avec AFP)