Le Parti de l’indépendance et du travail (Pit), dans une déclaration intitulée « urgences nationales », « demeure convaincu, que les leaders de Benno Bokk Yakaar (Bby), à qui tiennent à cœur l’avènement de l’ Assemblée nationale de rupture qu’attendent les Sénégalais, ne peuvent pas se payer le luxe de faire présider cette auguste Assemblée par un quelconque personnage sans culture républicaine, démocratique et citoyenne avérée, et sans attaches africaines et internationales, en mesure de contribuer, auprès du Président Macky, à rehausser le prestige de notre pays, pour gagner un peu plus la confiance de partenaires économiques et financiers, publics comme privés, en Afrique et dans le monde ». Les camarades de Maguette Thiam soutiennent que « ceux qui flattent les ambitions personnelles des uns et des autres, ceux qui sont manifestement aux antipodes de cette rupture, œuvrent véritablement contre les intérêts de notre peuple, rien que pour préserver les leurs qui sont menacés par l’exercice du pouvoir par BBY ».
Qui tire les ficelles ?
Pour le Pit, ce sont des forces tapies dans l’ombre qui alimentent, par presse interposée, le faux débat sur la Présidence de l’Assemblée nationale, « dans le but de convaincre les Sénégalais, à la fois, du caractère indépassable des contradictions entre Niasse et Tanor, et entre Macky et Idy d’une part , et, d’autre part, de l’incapacité du Président Macky Sall de dépasser ses intérêts étroitement partisans, en dépit des preuves éclatantes qu’il en a administrés dans la composition du Gouvernement du Premier Ministre Abdoul MBaye, et dans la confection des listes électorales de BBY aux Législatives ».
Les patriotes sauront gérer leurs différends
Mais les partisans de Maguette Thiam demeurent convaincus que « les patriotes, démocrates et républicains de BBY, sauront gérer leurs différences, voire même leurs contradictions, pour cultiver leurs convergences, afin de rendre notre coalition plus solidaire et plus déterminée à relever, avec notre peuple, les défis auxquels le Sénégal est confronté dans cette troisième phase du processus de liquidation du régime de Wade pour refonder notre Etat et la Gouvernance des affaires de notre Nation ».
La France invitée à la fermeté…
En outre, concernant la crise casamançaise, le Pit soutient que « l’acceptation de négocier la paix en Casamance, même hors du territoire national, pourvu que l’intégrité de notre territoire soit respectée, et l’invitation publique faite à la Gambie et à la Guinée Bissau d’y participer, vont dans le sens de renforcement de la confiance et de la coopération entre nos Etats ». Et invite la France à « adopter contre les « va-t’en guerre » en Casamance, à partir de son territoire, la même fermeté qu’elle développe vis-à-vis des séparatistes Basques en Espagne ».
Où sont les dignitaires religieux ?
Le PIT exprime, par ailleurs, toute son indignation, face aux agressions barbares dont le peuple frère du Mali et sa culture islamique sont victimes. Il « s’étonne du silence assourdissant des forces vives de la Nation, notamment des dignitaires et des organisations religieux, devant la profanation des tombes de guides musulmans historiques et de mosquées, au nom de l’Islam, sous couvert de la « Charia » ! ». Avant de noter que « ce sont nos propres mausolées et mosquées qui seront détruites si ces « croisés » de la « charia » triomphent au Mali et prennent pieds dans notre pays ».
Avec Sudonline
Qui tire les ficelles ?
Pour le Pit, ce sont des forces tapies dans l’ombre qui alimentent, par presse interposée, le faux débat sur la Présidence de l’Assemblée nationale, « dans le but de convaincre les Sénégalais, à la fois, du caractère indépassable des contradictions entre Niasse et Tanor, et entre Macky et Idy d’une part , et, d’autre part, de l’incapacité du Président Macky Sall de dépasser ses intérêts étroitement partisans, en dépit des preuves éclatantes qu’il en a administrés dans la composition du Gouvernement du Premier Ministre Abdoul MBaye, et dans la confection des listes électorales de BBY aux Législatives ».
Les patriotes sauront gérer leurs différends
Mais les partisans de Maguette Thiam demeurent convaincus que « les patriotes, démocrates et républicains de BBY, sauront gérer leurs différences, voire même leurs contradictions, pour cultiver leurs convergences, afin de rendre notre coalition plus solidaire et plus déterminée à relever, avec notre peuple, les défis auxquels le Sénégal est confronté dans cette troisième phase du processus de liquidation du régime de Wade pour refonder notre Etat et la Gouvernance des affaires de notre Nation ».
La France invitée à la fermeté…
En outre, concernant la crise casamançaise, le Pit soutient que « l’acceptation de négocier la paix en Casamance, même hors du territoire national, pourvu que l’intégrité de notre territoire soit respectée, et l’invitation publique faite à la Gambie et à la Guinée Bissau d’y participer, vont dans le sens de renforcement de la confiance et de la coopération entre nos Etats ». Et invite la France à « adopter contre les « va-t’en guerre » en Casamance, à partir de son territoire, la même fermeté qu’elle développe vis-à-vis des séparatistes Basques en Espagne ».
Où sont les dignitaires religieux ?
Le PIT exprime, par ailleurs, toute son indignation, face aux agressions barbares dont le peuple frère du Mali et sa culture islamique sont victimes. Il « s’étonne du silence assourdissant des forces vives de la Nation, notamment des dignitaires et des organisations religieux, devant la profanation des tombes de guides musulmans historiques et de mosquées, au nom de l’Islam, sous couvert de la « Charia » ! ». Avant de noter que « ce sont nos propres mausolées et mosquées qui seront détruites si ces « croisés » de la « charia » triomphent au Mali et prennent pieds dans notre pays ».
Avec Sudonline
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24