La Société Africaine de Raffinage (SAR) qui avait arrêté ses activités va redémarrer. L’Etat du Sénégal a pu trouver un partenaire stratégique qui a pris l’engagement d’effectuer un investissement de 250 milliards. La SAR est ainsi sauvée par l’entreprise Saoudienne, Ben Laden spécialisée dans la construction d’aéroport et qui a une filiale hydrocarbure. Elle va acquérir 34% du capital de cette entreprise qui est actuellement majoritairement publique (65,4% Sénégal et 34,6% Total).
Le directeur général de la Sar a indiqué que les négociations sont en cours et qu’elles sont très prometteuses. «Nous avons des partenaires très engagés. Ils sont d’ailleurs venus visiter la SAR, faire des entretiens avec le personnel pour connaître le niveau de qualification. Ils seront à Dakar ce samedi 27 juin pour le dernier round des négociations», a confié le directeur général de la SAR, Carmélio Sagna. Mais tout de même, a-t-il ajouté, un protocole d’accord qui engage les deux parties a été signé.
Le ministre de l’Energie, Samuel Sarr a fait savoir que «du fait de la position stratégique du Sénégal, Ben Laden veut créer une raffinerie d’exploitation vers d’autres pays». L’investissement de 250 milliards devrait permettre à ce groupe de réussir ce pari. Le ministre de l’Energie a révélé que Ben Laden va de 34% monter en puissance en devant l’actionnaire majoritaire de la SAR avec 51% du capital. La multinationale Total va garder 20% alors que l’Etat et les travailleurs vont se partager le pourcentage restant.
La SAR a une capacité de stockage de 1 millions 200 milles tonnes alors que la demande en énergie est de 1 millions 800 millions. Le directeur général de cette entreprise a souligné qu’il y a un gap de 6000 tonnes.
Le directeur général de la Sar a indiqué que les négociations sont en cours et qu’elles sont très prometteuses. «Nous avons des partenaires très engagés. Ils sont d’ailleurs venus visiter la SAR, faire des entretiens avec le personnel pour connaître le niveau de qualification. Ils seront à Dakar ce samedi 27 juin pour le dernier round des négociations», a confié le directeur général de la SAR, Carmélio Sagna. Mais tout de même, a-t-il ajouté, un protocole d’accord qui engage les deux parties a été signé.
Le ministre de l’Energie, Samuel Sarr a fait savoir que «du fait de la position stratégique du Sénégal, Ben Laden veut créer une raffinerie d’exploitation vers d’autres pays». L’investissement de 250 milliards devrait permettre à ce groupe de réussir ce pari. Le ministre de l’Energie a révélé que Ben Laden va de 34% monter en puissance en devant l’actionnaire majoritaire de la SAR avec 51% du capital. La multinationale Total va garder 20% alors que l’Etat et les travailleurs vont se partager le pourcentage restant.
La SAR a une capacité de stockage de 1 millions 200 milles tonnes alors que la demande en énergie est de 1 millions 800 millions. Le directeur général de cette entreprise a souligné qu’il y a un gap de 6000 tonnes.
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