L’effervescence s’empare de Ouidah. Sous les yeux des Béninois et de touristes, les places de la ville s’animent pour célébrer le vaudou. Tam-tams et danseurs sur l’esplanade devant le temple des Pythons, face à la basilique, où a pris place Daagbo Hounon, chef suprême du vaudou : « Vous trouvez le vaudou dans tout. C’est notre fierté à nous. C’est notre identité. C’est notre spiritualité. Et chaque année, au Bénin, le 10, c’est la fête nationale du Vaudou, ça se situe au début de l’année et c’est un devoir pour nous de souhaiter nos meilleurs vœux de bonne et heureuse année à tout le monde. »
Sur la place du fort français, c’est le tam-tam des Zangbeto que l’on entend, les gardiens de la nuit, formes coniques en paille qui tournoient et réputés protecteurs des villages. Quenum Geraldo ne manque jamais une édition de la fête du vaudou, dans sa ville natale : « Ça, ce sont les revenants, les gens qui sont morts et on les a appelés. On les habille, et puis ils sortent et ils dansent. On les adore. Ça, je ne sais pas comment l’expliquer, c’est trop fort. »
Pressafrik avec Rfi
Sur la place du fort français, c’est le tam-tam des Zangbeto que l’on entend, les gardiens de la nuit, formes coniques en paille qui tournoient et réputés protecteurs des villages. Quenum Geraldo ne manque jamais une édition de la fête du vaudou, dans sa ville natale : « Ça, ce sont les revenants, les gens qui sont morts et on les a appelés. On les habille, et puis ils sortent et ils dansent. On les adore. Ça, je ne sais pas comment l’expliquer, c’est trop fort. »
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