Le président Macky Sall est prévenu, qu’il ne compte surtout pas sur ses alliés que sont Ousmane Tanor Dieng et Idrissa Seck pour «violer» l’arrêt de la CEDEAO en faveur d’anciens ministres de Wade visés par les enquêtes sur l’enrichissement illicite et l’interdiction de sortie du territoire.
Invité de l’émission Grand Jury de la Rfm, le secrétaire général du Parti Socialiste est le premier à monter au créneau pour fustiger la volonté manifeste de l’Etat du Sénégal à passer outre cet arrêt. «L’arrêt rendu par la Cour de la CEDEAO, même s’il est discutable et qu’il laisse place à un débat de spécialistes, doit être respecté», clame-t-il.
Tout en mettant en exergue le devoir du Sénégal de respecter scrupuleusement cette décision communautaire, le leader de Rewmi, Idrissa Seck ne cache pas son désaccord. «Cet arrêt doit être scrupuleusement respecté. La signature du Sénégal en dépend. Nous ne devons pas tolérer des pratiques que nous avons combattues lorsque l’exécutif s’immisçait dans le fonctionnement de la justice, que ces pratiques reviennent», prévient l’ancien premier ministre sur la même radio.
Invité de l’émission Grand Jury de la Rfm, le secrétaire général du Parti Socialiste est le premier à monter au créneau pour fustiger la volonté manifeste de l’Etat du Sénégal à passer outre cet arrêt. «L’arrêt rendu par la Cour de la CEDEAO, même s’il est discutable et qu’il laisse place à un débat de spécialistes, doit être respecté», clame-t-il.
Tout en mettant en exergue le devoir du Sénégal de respecter scrupuleusement cette décision communautaire, le leader de Rewmi, Idrissa Seck ne cache pas son désaccord. «Cet arrêt doit être scrupuleusement respecté. La signature du Sénégal en dépend. Nous ne devons pas tolérer des pratiques que nous avons combattues lorsque l’exécutif s’immisçait dans le fonctionnement de la justice, que ces pratiques reviennent», prévient l’ancien premier ministre sur la même radio.