La délégation de BSS a justifié la nécessité de cette rencontre par « son souci de voir respecter la tradition qui veut que, dans notre pays, après chaque étape du processus électoral, les acteurs politiques, le Ministère de l’Intérieur et la CENA se retrouvent pour procéder à l’évaluation de la phase qui vient de s’achever, une telle opération ayant pour objectif de tirer tous les enseignements susceptibles de contribuer à l’amélioration des étapes à venir ».
Ce qui n’est pas le cas pour le moment car ont rappelé les membres de BSS « depuis la fin des inscriptions sur les listes électorales, le 31 juillet 2010, aucune réunion d’évaluation n’a été convoquée. C’est la raison pour laquelle BSS a souhaité porter à la connaissance de la CENA, organe chargé du contrôle et de la supervision du processus électoral, les dysfonctionnements et manquements qu’elle dit avoir constatés lors de la dernière révision des listes électorales et qui méritent d’être corrigés ».
« Ils ont également réclamé une évaluation critique des quatre dernières élections tenues dans le pays, ainsi qu’un bilan de la dernière révision des listes électorales et la renonciation à la révision exceptionnelle prévue pour compter du 1er décembre 2010 ».
La CENA a réaffirmé sa mission qui est de « faire respecter la loi électorale de manière à assurer la régularité, la transparence, la sincérité des scrutins en garantissant aux électeurs, ainsi qu’aux candidats en présence, le libre exercice de leurs droits ».
« La délégation de la CENA était conduite par M. Doudou Ndir, Président de cette institution, tandis que celle de BSS, forte de neuf membres, était dirigée par MM. Massène Niang et Dialo Diop, respectivement coordonnateur national du Mouvement pour le socialisme et l’Unité (MSU) et secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) », précise le communiqué de la CENA.
Ce qui n’est pas le cas pour le moment car ont rappelé les membres de BSS « depuis la fin des inscriptions sur les listes électorales, le 31 juillet 2010, aucune réunion d’évaluation n’a été convoquée. C’est la raison pour laquelle BSS a souhaité porter à la connaissance de la CENA, organe chargé du contrôle et de la supervision du processus électoral, les dysfonctionnements et manquements qu’elle dit avoir constatés lors de la dernière révision des listes électorales et qui méritent d’être corrigés ».
« Ils ont également réclamé une évaluation critique des quatre dernières élections tenues dans le pays, ainsi qu’un bilan de la dernière révision des listes électorales et la renonciation à la révision exceptionnelle prévue pour compter du 1er décembre 2010 ».
La CENA a réaffirmé sa mission qui est de « faire respecter la loi électorale de manière à assurer la régularité, la transparence, la sincérité des scrutins en garantissant aux électeurs, ainsi qu’aux candidats en présence, le libre exercice de leurs droits ».
« La délégation de la CENA était conduite par M. Doudou Ndir, Président de cette institution, tandis que celle de BSS, forte de neuf membres, était dirigée par MM. Massène Niang et Dialo Diop, respectivement coordonnateur national du Mouvement pour le socialisme et l’Unité (MSU) et secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) », précise le communiqué de la CENA.