«Quand un Premier ministre parle de toi, ce n'est plus du football. Je crois qu'il ne faut pas mélanger football et politique, a déclaré l'international français (81 sélections). Dans mon cas, c'est un sujet politique. Avec l'affaire Valbuena, j'ai traversé une mauvaise passe. J'ai passé un jour en prison et je suis rentré triste à Madrid. Maintenant, j'ai trente ans, deux enfants. Je suis tranquille ici. S'ils ont besoin de moi, ils savent où je suis.»
«La Marseillaise appelle à faire la guerre, je n'aime pas ça»
Il explique également pourquoi il ne chantait pas La Marseillaise avant les rencontres de l'équipe de France, ce qui avait également suscité quelques polémiques : «Si on l'écoute bien, la Marseillaise appelle à faire la guerre, je n'aime pas ça.»
En ce qui concerne les critiques dont il est actuellement l'objet concernant son manque d'efficacité (9 buts en 38 rencontres toutes compétitions confondues depuis le début de la saison), Benzema ne s'en offusque guère. «Les grands joueurs, nous sommes toujours critiqués. Nous vendons des journaux, déclare-t-il. Si je fais un mauvais match, je n'ai pas besoin de la presse pour le savoir. Moi, je joue au football pour aider mes coéquipiers et pour tout gagner. Ça m'est égal que mon nom soit dans les journaux. Cela ne signifie rien.»
L'Equipe
«La Marseillaise appelle à faire la guerre, je n'aime pas ça»
Il explique également pourquoi il ne chantait pas La Marseillaise avant les rencontres de l'équipe de France, ce qui avait également suscité quelques polémiques : «Si on l'écoute bien, la Marseillaise appelle à faire la guerre, je n'aime pas ça.»
En ce qui concerne les critiques dont il est actuellement l'objet concernant son manque d'efficacité (9 buts en 38 rencontres toutes compétitions confondues depuis le début de la saison), Benzema ne s'en offusque guère. «Les grands joueurs, nous sommes toujours critiqués. Nous vendons des journaux, déclare-t-il. Si je fais un mauvais match, je n'ai pas besoin de la presse pour le savoir. Moi, je joue au football pour aider mes coéquipiers et pour tout gagner. Ça m'est égal que mon nom soit dans les journaux. Cela ne signifie rien.»
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