Ouf! Bref! Que le monde est fou! Oui. Notre monde est à la fois fou et drolatique. Une spirale de billevesée s'empare du pays. C'est comme dans l'allégorie de la caverne. Dans cette caverne tel que décrite par Platon dans son livre la République n'est qu'illusion et illusoire. Elle met en scène des humains enchaînés et immobilisés dans une caverne. Ils tournent le dos à l'entrée et voient non pas les objets, mais les ombres des objets qui passent devant cette entrée et sont projetées contre le mur. Ils croient voir la réalité, alors qu'ils n'en voient qu'une projection. A ce stade et à la vitesse des évènements qui s'enchainent, voit-on réellement la réalité?
Toujours est-il qu'une folie générale s'empare de tout le monde. Un nuage noir semble pour le moment assombrir l'horizon. Le fou est exempte de tout. Le fou reste fou. Il n'est comptable de rien. La folie est notre miroir et reflète l'ombre de nos avatars.
Dans une société erratique envahie par une folie générale, personne n'a tort. Et qui a tort? Le pouvoir et la presse se crêpent le chignon et se renvoient la balle. Ce mardi, la presse sénégalaise observe une journée sans presse. La deuxième dans l'histoire du pays après celle de 2004 sous le régime de Wade.
En dépit, de la folie qui s'empare de tout le peuple, Il y'en a qui veulent s'échapper de la caverne. Mais par quels moyens?
A l'est du Sénégal, comme on dit au Sénégal oriental, l'on exploite le plus précieux métal du pays : l'or. Dans les mines d'or de Sabodala est enfouie une immense richesse. Le Sénégal oriental est l'une des parties les plus exotiques du Sénégal et présente une diversité ethnique et culturelle exaltante. Les Bassaris, les Bédiks, les Bambaras, les Peuls, les Diallonkés, les Soninkés pour ne citer que ces ethnies contribuent à cette diversité culturelle du Sénégal oriental. Tambacounda et Kédougou ces deux régions du Sénégal ont, pourtant produit de vaillants fils qui ont servi ce pays. Amath Dansokho, Cheikh Abdou Khadre Dieylani Cissokho, Mamba Guirassy pour ne citer que ceux-là.
Etre muté dans cette partie du Sénégal devrait-il être considéré comme une rémission? Qui s'explique s'accuse.
Toujours est-il qu'une folie générale s'empare de tout le monde. Un nuage noir semble pour le moment assombrir l'horizon. Le fou est exempte de tout. Le fou reste fou. Il n'est comptable de rien. La folie est notre miroir et reflète l'ombre de nos avatars.
Dans une société erratique envahie par une folie générale, personne n'a tort. Et qui a tort? Le pouvoir et la presse se crêpent le chignon et se renvoient la balle. Ce mardi, la presse sénégalaise observe une journée sans presse. La deuxième dans l'histoire du pays après celle de 2004 sous le régime de Wade.
En dépit, de la folie qui s'empare de tout le peuple, Il y'en a qui veulent s'échapper de la caverne. Mais par quels moyens?
A l'est du Sénégal, comme on dit au Sénégal oriental, l'on exploite le plus précieux métal du pays : l'or. Dans les mines d'or de Sabodala est enfouie une immense richesse. Le Sénégal oriental est l'une des parties les plus exotiques du Sénégal et présente une diversité ethnique et culturelle exaltante. Les Bassaris, les Bédiks, les Bambaras, les Peuls, les Diallonkés, les Soninkés pour ne citer que ces ethnies contribuent à cette diversité culturelle du Sénégal oriental. Tambacounda et Kédougou ces deux régions du Sénégal ont, pourtant produit de vaillants fils qui ont servi ce pays. Amath Dansokho, Cheikh Abdou Khadre Dieylani Cissokho, Mamba Guirassy pour ne citer que ceux-là.
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