Le Conseil constitutionnel a publié samedi, 20 janvier, la liste définitive des candidats à la présidentielle du 25 février 2024. Cette liste ne comprend pas l’opposant emprisonné Ousmane Sonko. Ce dernier a été éliminé de la course suite à sa condamnation à 6 mois de prison avec sursis dans l'affaire du Prodac qui l'opposait à Mame Mbaye Niang, actuel ministre du Tourisme. Réagissant à cette décision des 7 sages, le secrétariat national de l’ex-Pastef, par la voix de son chargé de communication El Malick Ndiaye s'est fendu d'un communiqué pour qualifier cela de « précédent dangereux » dans l’histoire politique du Sénégal. Répondant à cette sortie de l'ex-Pastef, Birahim Seck a tenu à souligner que "c'est plutôt la politique politicienne qui a projeté le Sénégal dans cet abîme".
"Monsieur El Malick Ndiaye, c'est plutôt la politique politicienne qui a projeté le Sénégal dans cet abîme, de l'indépendance à nos jours.
Le Sénégal mérite de se construire dans la vérité. Il nya rien d'incompréhensible dans le fait de demander que la Constitution soit respectée", a écrit le coordonnateur du Forum civil sur X.
"Monsieur El Malick Ndiaye, c'est plutôt la politique politicienne qui a projeté le Sénégal dans cet abîme, de l'indépendance à nos jours.
Le Sénégal mérite de se construire dans la vérité. Il nya rien d'incompréhensible dans le fait de demander que la Constitution soit respectée", a écrit le coordonnateur du Forum civil sur X.
Monsieur @elmaalignjaay, c'est plutôt la politique politicienne qui a projeté le Sénégal dans cet abîme, de l'indépendance à nos jours.
Le Sénégal mérite de se construire dans la vérité. Il nya rien d'incompréhensible dans le fait de demander que la Constitution soit respectée. pic.twitter.com/v3rqdEekn0
— Birahim Seck (@BirahimeSeck) January 21, 2024