C’est le Groupe International Africain de lutte contre le Blanchiment d’Argent (GIABA) qui a dévoilé ces chiffres hier mercredi lors d’un atelier national. En effet, la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières du Sénégal (CENTIF) a repéré 1120 milliards de FCFA blanchis dans notre pays entre 2004 et 2011, soit 17, 6% du PIB du Sénégal.
« De par sa spécificité, le système financier reste le secteur le plus vulnérable aux activités de blanchiment d’argent et de crime organisé », a indiqué la présidente de l’Association des Responsables Conformité des Banques et Etablissements financiers du Sénégal (ARCOBEF), Aminata Mbengue Diagne. La présidente de cette structure dépendante de l’Association des Professionnels des Banques et Etablissements Financiers du Sénégal (APBEF) de souligner dans les colonnes du « Quotidien » que « la contribution prépondérante des institutions financières est assez illustrative de leur rôle fondamental dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme au niveau national : sur 454 déclarations de soupçons transmises à la CENTIF entre 2006 et 2011, 92% proviennent essentiellement des banques ».
« De par sa spécificité, le système financier reste le secteur le plus vulnérable aux activités de blanchiment d’argent et de crime organisé », a indiqué la présidente de l’Association des Responsables Conformité des Banques et Etablissements financiers du Sénégal (ARCOBEF), Aminata Mbengue Diagne. La présidente de cette structure dépendante de l’Association des Professionnels des Banques et Etablissements Financiers du Sénégal (APBEF) de souligner dans les colonnes du « Quotidien » que « la contribution prépondérante des institutions financières est assez illustrative de leur rôle fondamental dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme au niveau national : sur 454 déclarations de soupçons transmises à la CENTIF entre 2006 et 2011, 92% proviennent essentiellement des banques ».