Les déclarations du ministre de la communication et porte parole du gouvernement n’ont pas plus aux responsables du Groupe Futurs médias. En effet, interpellé par les députés lors du vote de son budget, le ministre de l’Information et de la Communication, Moustapha Guirassy avait déclaré que, «le groupe futur médias n’aurait pas épuisé toute la procédure».Un argument battu en brèche par les responsables du groupe de presse concerné qui ont sortie un communiqué pour apporter des éclairages sur les lenteurs de ce démarrage. Ainsi ils soutiennent avoir écrite une demande en bonne et due forme. Et cette demande a été adressée aux autorités compétentes à la date du 08 octobre 2007 par le Président-directeur général du Groupe Futurs Médias. A la suite de cette demande, les responsables de dudit organe ont fait comprendre que, «le Ministre de l’Information a attribué une fréquence au Groupe Futurs Médias par courrier N°00170/MIPPG/CAB/DC, daté du 04 mars 2008 et notifié au Directeur Général de l’Agence de Régulations des Télécommunications et des Postes (ARTP)».
Et d’ajouter: «suite à la décision susmentionnée du ministre de l’Information, le Directeur Général de l’ARTP, par courrier en date du 11 mars 2008, a pris la décision intitulée comme suit: Décision 0050089AUT portant assignation de fréquences pour une station de radiodiffusion télévisuelle (TV) dénommée «Télé Futurs Médias».
Après épuisement de la procédure comme l’attestent les documents cités en référence, la direction générale du Groupe Futurs Médias, sur proposition de l’actuel ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, a adressé à ce dernier un projet de convention de concession par courrier N°017/08-RMSDF/MD daté du 05 août 2009 alors qu’une telle convention devait être rédigée et soumise au Groupe Futurs Médias par les services compétents de l’Etat du Sénégal.
La direction du groupe futur médias a, en outre, estimé que cet argument tendant à les faire imputer la responsabilité du retard dans le démarrage des programmes de «TFM» ne tient pas la route. Ils ont fait savoir que, «les changements d’option d’une télévision culturelle à une télévision généraliste et du mode de diffusion (passage de la voie hertzienne ou UHF canal 42 à la voie satellitaire) » ne constituent pas un argument valable pour expliquer les blocages constatés».
Et d’ajouter: «suite à la décision susmentionnée du ministre de l’Information, le Directeur Général de l’ARTP, par courrier en date du 11 mars 2008, a pris la décision intitulée comme suit: Décision 0050089AUT portant assignation de fréquences pour une station de radiodiffusion télévisuelle (TV) dénommée «Télé Futurs Médias».
Après épuisement de la procédure comme l’attestent les documents cités en référence, la direction générale du Groupe Futurs Médias, sur proposition de l’actuel ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, a adressé à ce dernier un projet de convention de concession par courrier N°017/08-RMSDF/MD daté du 05 août 2009 alors qu’une telle convention devait être rédigée et soumise au Groupe Futurs Médias par les services compétents de l’Etat du Sénégal.
La direction du groupe futur médias a, en outre, estimé que cet argument tendant à les faire imputer la responsabilité du retard dans le démarrage des programmes de «TFM» ne tient pas la route. Ils ont fait savoir que, «les changements d’option d’une télévision culturelle à une télévision généraliste et du mode de diffusion (passage de la voie hertzienne ou UHF canal 42 à la voie satellitaire) » ne constituent pas un argument valable pour expliquer les blocages constatés».