Depuis son élection, le président équatorien Lenin Moreno ne fait pas mystère de son agacement vis à vis de l’imbroglio diplomatique dans lequel le place le cas Julian Assange, qui réside dans l’ambassade équatorienne à Londres depuis 2012.
Fin 2017, le fondateur de Wikileaks avait signé un accord dans lequel il s'engageait à n’émettre aucun message pouvant supposer une ingérence dans les affaires d’autres Etats. Selon Quito, Julian Assange n’a pas respecté cet accord en critiquant la récente expulsion de diplomates russes par Londres.
Bientôt entre les mains de la justice ?
Le gouvernement équatorien a donc indiqué avoir suspendu tous les systèmes qui permettent à Julian Assange de communiquer avec l’extérieur. La semaine prochaine, le ministère des Affaires étrangères a prévu de se réunir à Londres avec Assange et ses avocats pour évoquer de nouvelles mesures.
Quito estime en effet que les messages du fondateur de Wikileaks compromettent les relations de l’Equateur avec le Royaume-Uni et le reste des Etats Européens.
Récemment, le secrétaire d’Etat britannique pour l’Europe et les Amériques Alan Duncan avait estimé que la décision d’Assange de se rendre à la justice britannique n’était plus qu’une « question de temps ». Beaucoup à Quito se demandent si le durcissement de ses conditions de vie n’incitera pas Julian Assange à franchir le pas.
Fin 2017, le fondateur de Wikileaks avait signé un accord dans lequel il s'engageait à n’émettre aucun message pouvant supposer une ingérence dans les affaires d’autres Etats. Selon Quito, Julian Assange n’a pas respecté cet accord en critiquant la récente expulsion de diplomates russes par Londres.
Bientôt entre les mains de la justice ?
Le gouvernement équatorien a donc indiqué avoir suspendu tous les systèmes qui permettent à Julian Assange de communiquer avec l’extérieur. La semaine prochaine, le ministère des Affaires étrangères a prévu de se réunir à Londres avec Assange et ses avocats pour évoquer de nouvelles mesures.
Quito estime en effet que les messages du fondateur de Wikileaks compromettent les relations de l’Equateur avec le Royaume-Uni et le reste des Etats Européens.
Récemment, le secrétaire d’Etat britannique pour l’Europe et les Amériques Alan Duncan avait estimé que la décision d’Assange de se rendre à la justice britannique n’était plus qu’une « question de temps ». Beaucoup à Quito se demandent si le durcissement de ses conditions de vie n’incitera pas Julian Assange à franchir le pas.