Les observateurs indiquent que les soldats nigérians ne sont pas suffisamment équipés pour faire face à la puissance de feu du groupe islamiste.
L'armée n'a pour le moment fait aucun commentaire sur les évènements qui ont touché cette ville tout récemment tombée aux mains du groupe armé.
Les analystes estiment que le Nigeria pourrait succomber à la puissance de feu du groupe islamiste.
De leur côté, les habitants de la région craignent que les rebelles se rapprochent de Maiduguri, capitale de l'Etat de Borno toujours contrôlée par l'armée.
Le mois dernier, Abubakar Shekau, le chef de Boko Haram, a décrété un califat islamique dans les zones sous le contrôle du groupe.
Autres articles
-
Tchad: à Adré, le chef de la diplomatie française face à la détresse des réfugiés soudanais
-
Kenya: le président fragilisé par des critiques grandissantes de différentes Églises
-
Au Tchad, le chef de la diplomatie française se rend dans le camp de réfugiés d'Adré
-
L'économie et la sécurité au cœur de la visite d'État du président nigérian en France
-
RDC: l’opposant Seth Kikuni condamné à un an de prison, son avocat dénonce une «décision inique»