
Le président l’Ong Horizons sans frontières, Boubacar Sèye a estimé que les fonds alloués au Sénégal par l’Union européenne pour combattre l’émigration clandestine ont été « utilisés à de fins personnels ».
« Les naufrages se succèdent et se répètent. En trois ans, entre 2017 et 2020, on compte plus de 20.000 morts en Méditerranée. Et entre 1998 et 2008, il y a 150.000 morts avec en moyenne 1 400 morts. Pour le Sénégal, c’est 150 personnes qui sont mortes en mer, récemment. C’est une honte pour notre pays », a dit M. Sèye.
Il dit avoir des « preuves que l’Union européenne a injecté environ 118 milliards FCFA ces dernières années au Sénégal, dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine. Mais ces fonds injectés n’ont pas servi aux ayants droits, parce que le phénomène est devenu plus inquiétant ».
Ces fonds selon Boubacar Sèye sont rentrés dans des trous sans fond. Le gouvernement se partage les fonds injectés par l’Union européenne pour lutter contre l’émigration clandestine, a-t-il accusé dans des propos rapportés par L’Observateur.
Une accusation d’un revers de la main par le Secrétaire général d’Etat auprès des Sénégalais de l’extérieur Moise Sarr. « C’est un mauvais procès qu’on est en train de faire au gouvernement sénégalais, qui a consenti beaucoup d’efforts dans la créations d’emplois. On a déjà 490.000 emplois directs créés. Le président a parlé d’un million d’emplois en 2019, on est en train de travailler la dessus pour atteindre ses objectifs ».
M. Sarr a cité comme exemple l’un des grands projets du ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur qui est la Gouvernance migratoire et développement (Gmd). Un fonds, qui, selon lui a permis notamment de sensibiliser les jeunes au niveau des zones de départ.
« Les naufrages se succèdent et se répètent. En trois ans, entre 2017 et 2020, on compte plus de 20.000 morts en Méditerranée. Et entre 1998 et 2008, il y a 150.000 morts avec en moyenne 1 400 morts. Pour le Sénégal, c’est 150 personnes qui sont mortes en mer, récemment. C’est une honte pour notre pays », a dit M. Sèye.
Il dit avoir des « preuves que l’Union européenne a injecté environ 118 milliards FCFA ces dernières années au Sénégal, dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine. Mais ces fonds injectés n’ont pas servi aux ayants droits, parce que le phénomène est devenu plus inquiétant ».
Ces fonds selon Boubacar Sèye sont rentrés dans des trous sans fond. Le gouvernement se partage les fonds injectés par l’Union européenne pour lutter contre l’émigration clandestine, a-t-il accusé dans des propos rapportés par L’Observateur.
Une accusation d’un revers de la main par le Secrétaire général d’Etat auprès des Sénégalais de l’extérieur Moise Sarr. « C’est un mauvais procès qu’on est en train de faire au gouvernement sénégalais, qui a consenti beaucoup d’efforts dans la créations d’emplois. On a déjà 490.000 emplois directs créés. Le président a parlé d’un million d’emplois en 2019, on est en train de travailler la dessus pour atteindre ses objectifs ».
M. Sarr a cité comme exemple l’un des grands projets du ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur qui est la Gouvernance migratoire et développement (Gmd). Un fonds, qui, selon lui a permis notamment de sensibiliser les jeunes au niveau des zones de départ.
Autres articles
-
Tribunal : le procès de Oumar Sow renvoyé au 4 juin
-
Insécurité à l’approche de la Tabaski : Le ministre de l’Intérieur promet une traque sans relâche et tolérance zéro
-
Tribunal : le procès en appel de Fallou Fall renvoyé au 25 juin, sa demande de liberté provisoire rejetée
-
Sénégal : La Coordination des Musulmans du Sénégal célèbrera la Tabaski le 6 juin 2025
-
Mbour : saisie de 192 kg de chanvre indien sur la plage de Ndayane