Visé par la Haute Cour de justice, Ismaila Madior Fall est revenu sur l'affaire du projet de bracelets électroniques. Selon lui, il n y avait pas eu de surfacturation dans l'affaire des bracelets électroniques.
L’ancien ministre de la Justice a expliqué que cela remonte à son passage au ministère de la Justice, lorsqu'il a initié ce projet de bracelets électroniques. Invité hier, vendredi, dans l'émission Face à MFN sur la 7TV, il a précisé qu’il n’y avait pas de surfacturation, car il n’existe pas de prix d’homologation en la matière concernant les bracelets électroniques.
«Quand mon successeur, Me Malick Sall, est arrivé, il a poursuivi le projet avant de quitter ses fonctions. Je suis revenu au ministère de la Justice et j’ai procédé au lancement des bracelets électroniques. J’avais envisagé de mettre en place un centre de surveillance électronique dans un lieu proche du tribunal de Guédiawaye où nous disposions de beaucoup d’espace, soit 8 000 m². J’envisageais d'utiliser un peu plus de 1 000 m² pour ce projet. Il était prévu de procéder à ce que l’on appelle en droit une dation en paiement. Après les études, nous avions prévu une construction d'une valeur estimée à 600 millions de francs CFA », a rappelé Ismaïla Madior Fall.
Poursuivant ses propos, l’ancien ministre de justice soutient : « N’ayant pas de liquidités, nous avions décidé de régler une partie avec l’opérateur, à hauteur de 150 à 200 millions de francs CFA. D’ailleurs, je ne connaissais même pas le responsable de la construction. C’est le directeur des constructions des palais de justice qui m’a mis en relation avec lui », a précisé l’ex-ministre.
L’ancien ministre de la Justice a expliqué que cela remonte à son passage au ministère de la Justice, lorsqu'il a initié ce projet de bracelets électroniques. Invité hier, vendredi, dans l'émission Face à MFN sur la 7TV, il a précisé qu’il n’y avait pas de surfacturation, car il n’existe pas de prix d’homologation en la matière concernant les bracelets électroniques.
«Quand mon successeur, Me Malick Sall, est arrivé, il a poursuivi le projet avant de quitter ses fonctions. Je suis revenu au ministère de la Justice et j’ai procédé au lancement des bracelets électroniques. J’avais envisagé de mettre en place un centre de surveillance électronique dans un lieu proche du tribunal de Guédiawaye où nous disposions de beaucoup d’espace, soit 8 000 m². J’envisageais d'utiliser un peu plus de 1 000 m² pour ce projet. Il était prévu de procéder à ce que l’on appelle en droit une dation en paiement. Après les études, nous avions prévu une construction d'une valeur estimée à 600 millions de francs CFA », a rappelé Ismaïla Madior Fall.
Poursuivant ses propos, l’ancien ministre de justice soutient : « N’ayant pas de liquidités, nous avions décidé de régler une partie avec l’opérateur, à hauteur de 150 à 200 millions de francs CFA. D’ailleurs, je ne connaissais même pas le responsable de la construction. C’est le directeur des constructions des palais de justice qui m’a mis en relation avec lui », a précisé l’ex-ministre.
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