Le coup est reçu à bout portant. Et les effets se sont fait sentir. Le chef de l’Etat étant déterminé à sévir face cette affaire d’Etat, l’urgence dicte que toutes les hautes personnalités cités dans cette affaire soient dans les dispositions de rendre compte. Après le rappel de l’auteur du brûlot de Rome où il a servi jusque-là, seule la disponibilité du Général Fall retarde la mise en œuvre des mesures déjà ficelées par Macky Sall. L’Etat vole au secours du Général Abdoulaye Fall, rudement malmené par les accusations du Colonel Ndaw. Derrière le communiqué diplomatiquement correct publié par le ministère, se cache la vérité sur la démission du Général Fall. Ce dernier n'a pas démissionné de son propre gré. Il a été poussé à la démission. De l’entretien qu’il a eu avec le ministre des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye, précédé par une entrevue entre le chef de l’Etat et le chef de la diplomatie Sénégalaise ainsi avec quelques-uns de ses conseillers, il ne ressort nullement une démission volontaire.
La situation est telle que, jurent des personnalités informées de la procédure, selon "l'Observateur" que l’autorité a sommé le Général Fall de quitter ses fonctions diplomatiques. Suite aux accusations portées contre lui par le Colonel Abdoulaye Aziz Ndaw, Mais le général Fall semble vouloir ralentir l’avancée de ce déloge. Et son geste de ce week-end a tout l’air d’un repli, pour contre-attaquer. Pour l’histoire de la Casamance, se sont les fonds politiques qui ont été utilisés.
La situation est telle que, jurent des personnalités informées de la procédure, selon "l'Observateur" que l’autorité a sommé le Général Fall de quitter ses fonctions diplomatiques. Suite aux accusations portées contre lui par le Colonel Abdoulaye Aziz Ndaw, Mais le général Fall semble vouloir ralentir l’avancée de ce déloge. Et son geste de ce week-end a tout l’air d’un repli, pour contre-attaquer. Pour l’histoire de la Casamance, se sont les fonds politiques qui ont été utilisés.