Moustapha Niasse s'adressant à la presse
Le leader de l’Alliance des forces de progrès (Afp, opposition) a ainsi proposé une méthode d’approche qui cible, selon lui, directement les dossiers prioritaires. Il s’agit, de l’avis de l’enfant du Saloum (nom de traditionnel de Kaolack), de la nécessité, pour les Sénégalais, de doter notre pays d’une architecture constitutionnelle nouvelle qui restitue l’Etat à la République et qui mette fin, définitivement, à la gestion quasi-monarchique de notre pays. Mais aussi a-t-il ajouté «cette nécessité est le corollaire logique d’une ambition partagée par la majorité des Sénégalais, quand ceux-là, assistent, désolés, à la gestion actuelle des Institutions de leur pays».
Pour le chef de file des progressistes, il faut «créer les conditions d’un redressement planifié, réaliste et efficace de la situation économique du Sénégal. Le monde est en crise dans un contexte qui décourage les plus optimistes des experts et analystes de la question financière internationale».
«phobie chromosomique des enseignants par le pouvoir»
Mais, a-t-il estimé, «cette crise ne peut servir de prétexte à aucun Gouvernement fût-il le plus rusé et le plus porté à chevaucher les coursiers de l’infamie comme celui de Me Abdoulaye Wade pour ne pas relever les défis du développement et faire face aux responsabilités qui lui incombent».
Moustapha Niasse a fait une analyse furtive du budget de l’Etat pour 2009. Il en tire comme conclusion que «c’est la meilleure illustration du degré d’irresponsabilité du pouvoir en place, en matière de définition et de traitement des programmes à réaliser». Le secrétaire général de l’Afp a indiqué que le fait de «doter le ministère dit de « la femme, de la famille et de l’on ne sait quoi » d’une augmentation de son budget pour 9 milliards de francs CFA n’est, en réalité, qu’une astuce maladroite et une provocation, dans le seul but de constituer un fonds électoral destiné à corrompre des chefs de clans et des tubes digestifs bipèdes toujours prêts à se nourrir du sang du peuple, en se faisant les complices invétérés des Ali Baba des temps modernes».
Le membre de la conférence des leaders de l’opposition a estimé que les urgences sont ailleurs notamment du côté de l’éducation, des PME, PMI, des technologies entre autres. «Le régime en place et ceux qui nous gouvernent sont atteints d’une phobie chromosomique des enseignants, de l’enseignement, des milieux universitaires, des écoles et de toute activité humaine pouvant, dans leur raisonnement, contribuer à ouvrir les yeux du peuple sur le vol, le mensonge public, la paresse, l’inculture, l’incompétence et le manque de vision des hommes publics qu’ils sont», a, en revanche, souligné le patron de l’Afp.
Pour le chef de file des progressistes, il faut «créer les conditions d’un redressement planifié, réaliste et efficace de la situation économique du Sénégal. Le monde est en crise dans un contexte qui décourage les plus optimistes des experts et analystes de la question financière internationale».
«phobie chromosomique des enseignants par le pouvoir»
Mais, a-t-il estimé, «cette crise ne peut servir de prétexte à aucun Gouvernement fût-il le plus rusé et le plus porté à chevaucher les coursiers de l’infamie comme celui de Me Abdoulaye Wade pour ne pas relever les défis du développement et faire face aux responsabilités qui lui incombent».
Moustapha Niasse a fait une analyse furtive du budget de l’Etat pour 2009. Il en tire comme conclusion que «c’est la meilleure illustration du degré d’irresponsabilité du pouvoir en place, en matière de définition et de traitement des programmes à réaliser». Le secrétaire général de l’Afp a indiqué que le fait de «doter le ministère dit de « la femme, de la famille et de l’on ne sait quoi » d’une augmentation de son budget pour 9 milliards de francs CFA n’est, en réalité, qu’une astuce maladroite et une provocation, dans le seul but de constituer un fonds électoral destiné à corrompre des chefs de clans et des tubes digestifs bipèdes toujours prêts à se nourrir du sang du peuple, en se faisant les complices invétérés des Ali Baba des temps modernes».
Le membre de la conférence des leaders de l’opposition a estimé que les urgences sont ailleurs notamment du côté de l’éducation, des PME, PMI, des technologies entre autres. «Le régime en place et ceux qui nous gouvernent sont atteints d’une phobie chromosomique des enseignants, de l’enseignement, des milieux universitaires, des écoles et de toute activité humaine pouvant, dans leur raisonnement, contribuer à ouvrir les yeux du peuple sur le vol, le mensonge public, la paresse, l’inculture, l’incompétence et le manque de vision des hommes publics qu’ils sont», a, en revanche, souligné le patron de l’Afp.