Cette rencontre a été placée sous la présidence de Doro Diagne, secrétaire national chargé des questions électorales, par ailleurs Secrétaire général de l’Union Régionale de Dakar.
Selon le communiqué de ce Bureau politique parvenu à la rédaction de Pressafrik, « le régime de l’Alternance, qui s’était entouré de toutes les garanties possibles pour bien gouverner, en 2000 avec l’élection de Me Wade, puis en 2007 avec sa réélection, en passant par 2001 avec le référendum constitutionnel, est un régime finissant ».
Il est souligné dans ce communiqué, que « Bennoo méritera surtout les honneurs de la Nation si, dans l’unité, il se sert de son union pour pratiquer et faire triompher la seule idéologie qui vaille aujourd’hui : le combat pour le développement économique et social du Sénégal et le culte des valeurs ».
A en croire le Bureau politique du Rassemblement pour le Socialisme et la Démocratie / Takku Defaraat Sénégal, 80% des électeurs sénégalais ne sont avec ou dans aucun parti politique et une écrasante majorité de ces 80% croit en Bennoo un et uni.
Mais hélas ! Cette union vient d’être ébranlée le jeudi 1er décembre soir par le clash dans le processus du choix d’un candidat de l’unité et du rassemblement. Après 10 tours d’horloge, le groupe des facilitateurs n’a pas pu trouver un consensus autour de la question de la candidature de l’unité et du rassemblement de Benno Siggil Sénégal à 84 jours de l’élection présidentielle 2012. Sur les 33 partis, 19 ont choisi Moustapha Niasse comme le candidat de Benno. Et Ousmane Tanor Dieng du PS, a déclaré qu’il y a des partis de Benno et d’autres qui le soutiennent. Donc sa candidature à l’échéance électorale est plus que confirmée.
Dans le volet de l’actualité nationale, le Bureau Politique a constaté avec un certain regret la situation économique du pays qui selon lui continue d’aller de mal en pis. « Les citoyens sénégalais s’enlisent de plus en plus dans la pauvreté et la misère. Aussi les délestages de l’électricité et la pénurie d’eau vont encore de bon train dans plusieurs localités du pays ».
Le Bureau Politique n’a pas également manqué de mettre au dam du jour certains maux comme le secteur de l’éducation, la sécurité des citoyens et le chômage.
Selon le communiqué de ce Bureau politique parvenu à la rédaction de Pressafrik, « le régime de l’Alternance, qui s’était entouré de toutes les garanties possibles pour bien gouverner, en 2000 avec l’élection de Me Wade, puis en 2007 avec sa réélection, en passant par 2001 avec le référendum constitutionnel, est un régime finissant ».
Il est souligné dans ce communiqué, que « Bennoo méritera surtout les honneurs de la Nation si, dans l’unité, il se sert de son union pour pratiquer et faire triompher la seule idéologie qui vaille aujourd’hui : le combat pour le développement économique et social du Sénégal et le culte des valeurs ».
A en croire le Bureau politique du Rassemblement pour le Socialisme et la Démocratie / Takku Defaraat Sénégal, 80% des électeurs sénégalais ne sont avec ou dans aucun parti politique et une écrasante majorité de ces 80% croit en Bennoo un et uni.
Mais hélas ! Cette union vient d’être ébranlée le jeudi 1er décembre soir par le clash dans le processus du choix d’un candidat de l’unité et du rassemblement. Après 10 tours d’horloge, le groupe des facilitateurs n’a pas pu trouver un consensus autour de la question de la candidature de l’unité et du rassemblement de Benno Siggil Sénégal à 84 jours de l’élection présidentielle 2012. Sur les 33 partis, 19 ont choisi Moustapha Niasse comme le candidat de Benno. Et Ousmane Tanor Dieng du PS, a déclaré qu’il y a des partis de Benno et d’autres qui le soutiennent. Donc sa candidature à l’échéance électorale est plus que confirmée.
Dans le volet de l’actualité nationale, le Bureau Politique a constaté avec un certain regret la situation économique du pays qui selon lui continue d’aller de mal en pis. « Les citoyens sénégalais s’enlisent de plus en plus dans la pauvreté et la misère. Aussi les délestages de l’électricité et la pénurie d’eau vont encore de bon train dans plusieurs localités du pays ».
Le Bureau Politique n’a pas également manqué de mettre au dam du jour certains maux comme le secteur de l’éducation, la sécurité des citoyens et le chômage.
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