Le comédien Sotigui Kouyaté recevait l'Ours d'argent du meilleur acteur au 59e Festival international du film de Berlin, en février 2009.
Ancien agent de la fonction publique burkinabé, Sotigui Kouyaté fut joueur de l’équipe nationale du Burkina dans les années 1960, conteur et homme de théâtre.
Mais il était avant tout connu des Burkinabé et des Africains en général comme acteur de cinéma, surtout la génération actuelle qui l’a vu dans de nombreux films. Par exemple, dans Black Mic Mac du Français Thomas Gilou, dans La Genèse du Malien Cheik Oumar Sissoko et surtout dans deux longs métrages de son fils Dani Kouyaté. Il s’agit de Keïta ! L’héritage du griot et Sia, le rêve du python.
Sotigui Kouyaté a inspiré la plupart de ses enfants, qui ont embrassé différents métiers dans le cinéma, le théâtre, les contes ou encore la décoration. En somme, une famille de culture pour ce griot de talent.
Juste après son Ours d’argent début 2009 à Berlin, Sotigui Kouyaté a été décoré par le Burkina à l’occasion du Fespaco, le festival du cinéma de Ouagadougou.
« Sa mort est une grande perte pour le monde de la culture et pour le Burkina », a déclaré le ministre burkinabé de la Culture et porte-parole du gouvernement, Philippe Savadogo.
Mais il était avant tout connu des Burkinabé et des Africains en général comme acteur de cinéma, surtout la génération actuelle qui l’a vu dans de nombreux films. Par exemple, dans Black Mic Mac du Français Thomas Gilou, dans La Genèse du Malien Cheik Oumar Sissoko et surtout dans deux longs métrages de son fils Dani Kouyaté. Il s’agit de Keïta ! L’héritage du griot et Sia, le rêve du python.
Sotigui Kouyaté a inspiré la plupart de ses enfants, qui ont embrassé différents métiers dans le cinéma, le théâtre, les contes ou encore la décoration. En somme, une famille de culture pour ce griot de talent.
Juste après son Ours d’argent début 2009 à Berlin, Sotigui Kouyaté a été décoré par le Burkina à l’occasion du Fespaco, le festival du cinéma de Ouagadougou.
« Sa mort est une grande perte pour le monde de la culture et pour le Burkina », a déclaré le ministre burkinabé de la Culture et porte-parole du gouvernement, Philippe Savadogo.