Le ministre en charge de l’information, Filippe Savadogo a remis un Galian d’honneur à la présidente du Conseil supérieur de la communication, présidente d’honneur de la 12e édition des prix Galian.
Ce concours est organisé par le ministère de l’Information. Les candidats déposent auprès de la direction du développement des médias, des copies de leurs articles (déjà publiés) qu’un jury sera chargé d’examiner minutieusement. L’édition 2009 des prix Galian a enregistré 157 œuvres de diverses catégories en presse écrite, radiodiffusion et télévision. Des productions dans divers domaines ont retenu l’attention du jury, 41 au total.
L’innovation de cette édition est l’introduction des prix Galian pour les œuvres en langues nationales qui jusque-là n’étaient pas pris en compte, mais contribuent énormément à informer les populations surtout analphabètes. Trois œuvres dans ce domaine ont ainsi primées soient 2 en radiodiffusion une en presse écrite.
Pour les œuvres en français, le jury officiel a octroyé 16 prix dont 7 ont été remportés par la radiodiffusion télévision du Burkina. Entre autres domaines il y a la maquette, la caricature, l’image, le son dans le domaine de la création, l’enquête, le reportage, le documentaire, la présentation, le débat, le magazine dans la production.
En dehors des prix des jurys officiels (langues nationales et français) constitués du trophée Galian, de cinq cents mille (500 000) F CFA et d’une attestation, certains ministères et institutions ont accordé des prix dits spéciaux à des œuvres qui traitent des aspects de leurs domaines d’action. Vingt deux (22) prix de différentes valeurs émanant de certains ministères, de l’Assemblée nationale, du Conseil supérieur de la communication, du Centre pour la gouvernance démocratique, de Plan Burkina etc. ont récompensé les Hommes de média.
Les articles déposés pour la plupart ont été réalisés hors de toute idée du concours. «Mon article s’intitule ‘’L’éducation des filles au Sahel : vaincre à tout prix la déperdition’’. Nous avons parcouru la région du Sahel pour voir la réalité sur l’éducation des filles, et nous avons retranscrit ce que nous avons vu, entendu. J’ai postulé au concours en me disant que j’ai fait un travail de qualité ; ce qui me vaut ce prix aujourd’hui», explique Assetou Badoh, journaliste au quotidien Sidwaya et lauréat d’un prix spécial du ministère de l’Enseignement de base et de l’Alphabétisation.
«Mon reportage parle de l’insécurité dans la région de l’Est du Burkina. Cette région est réputée pour l’insécurité qui y règne. C’est ce qui m’a motivée. Et j’ai vu la peur dans les yeux des gens quand ils me parlaient de ce phénomène et je me suis dit qu’il ne faut pas passer ça sous silence. On a réalisé ce reportage parce qu’on devait faire le 11-Décembre (fête nationale) à Fada et j’ai été désignée pour faire un reportage sur la Komondjari», soutient Caroline Tuina, journaliste à la télévision nationale ayant reçu trois prix pour son grand reportage intitulé ‘’La Komondjari en 13 minutes’’.
Six prix spéciaux ont été également décernés à des personnalités du monde des médias, anciens journalistes qui ont travaillé à la promotion de ce métier. La présidente du Conseil supérieur de la communication, présidente d’honneur de la 12e édition des Galian Béatrice Damiba a été aussi honorée d’un trophée Galian pour sa quête permanente du développement des médias, d’une presse plurielle et indépendante. Elle a reconnu que la presse burkinabè est l’une des plus dynamiques et a souhaité que l’excellence soit et reste toujours la cible des journalistes. Vive les prix Galian !
L’innovation de cette édition est l’introduction des prix Galian pour les œuvres en langues nationales qui jusque-là n’étaient pas pris en compte, mais contribuent énormément à informer les populations surtout analphabètes. Trois œuvres dans ce domaine ont ainsi primées soient 2 en radiodiffusion une en presse écrite.
Pour les œuvres en français, le jury officiel a octroyé 16 prix dont 7 ont été remportés par la radiodiffusion télévision du Burkina. Entre autres domaines il y a la maquette, la caricature, l’image, le son dans le domaine de la création, l’enquête, le reportage, le documentaire, la présentation, le débat, le magazine dans la production.
En dehors des prix des jurys officiels (langues nationales et français) constitués du trophée Galian, de cinq cents mille (500 000) F CFA et d’une attestation, certains ministères et institutions ont accordé des prix dits spéciaux à des œuvres qui traitent des aspects de leurs domaines d’action. Vingt deux (22) prix de différentes valeurs émanant de certains ministères, de l’Assemblée nationale, du Conseil supérieur de la communication, du Centre pour la gouvernance démocratique, de Plan Burkina etc. ont récompensé les Hommes de média.
Les articles déposés pour la plupart ont été réalisés hors de toute idée du concours. «Mon article s’intitule ‘’L’éducation des filles au Sahel : vaincre à tout prix la déperdition’’. Nous avons parcouru la région du Sahel pour voir la réalité sur l’éducation des filles, et nous avons retranscrit ce que nous avons vu, entendu. J’ai postulé au concours en me disant que j’ai fait un travail de qualité ; ce qui me vaut ce prix aujourd’hui», explique Assetou Badoh, journaliste au quotidien Sidwaya et lauréat d’un prix spécial du ministère de l’Enseignement de base et de l’Alphabétisation.
«Mon reportage parle de l’insécurité dans la région de l’Est du Burkina. Cette région est réputée pour l’insécurité qui y règne. C’est ce qui m’a motivée. Et j’ai vu la peur dans les yeux des gens quand ils me parlaient de ce phénomène et je me suis dit qu’il ne faut pas passer ça sous silence. On a réalisé ce reportage parce qu’on devait faire le 11-Décembre (fête nationale) à Fada et j’ai été désignée pour faire un reportage sur la Komondjari», soutient Caroline Tuina, journaliste à la télévision nationale ayant reçu trois prix pour son grand reportage intitulé ‘’La Komondjari en 13 minutes’’.
Six prix spéciaux ont été également décernés à des personnalités du monde des médias, anciens journalistes qui ont travaillé à la promotion de ce métier. La présidente du Conseil supérieur de la communication, présidente d’honneur de la 12e édition des Galian Béatrice Damiba a été aussi honorée d’un trophée Galian pour sa quête permanente du développement des médias, d’une presse plurielle et indépendante. Elle a reconnu que la presse burkinabè est l’une des plus dynamiques et a souhaité que l’excellence soit et reste toujours la cible des journalistes. Vive les prix Galian !
Assettou Badoh, lauréat du prix spécial du ministère en charge de l’éducation.
Les différents lauréats.
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